Tu préfères quel titre pour notre prochaine vidéo ? (on accueille Thibault Renouf, CEO de Partoo qui nous partage ses plus gros apprentissages d'entrepreneurs)
6 raisons d'offrir des contenus d'une très valeur (apprentissage + qualité) à ton audience :
1) Les prospects achètent pour la valeur qu’ils espèrent recevoir. Mais motivent l’essentiel de leur décision sur celle qu’ils ont déjà reçue.
2) Les prospects n’achètent pas de l’information, ils achètent un usage — et les résultats qu’il engendre. Donner l’information, c’est maximiser les chances de vendre l’usage qui en découle.
3) Ce que je ne donne pas, quelqu’un d’autre sera prêt à le donner à ma place. Être en mesure de donner à grande échelle n’est pas une perte de chiffre, c’est une barrière à l’entrée.
4) Ça me permet de délivrer encore plus de valeur aux quelque 500+ clients qu’on accompagne ou avons accompagnés en 3 ans.
5) Ça nous permet de délivrer encore plus de valeur à nos prospects — donc d’augmenter nos ventes.
(6) Ça me fait plaisir.)
Partez juste du principe que vous tendrez toujours à récupérer au centuple ce que vous donnez aujourd’hui.
En France : “Je télécharge l’ebook gratuit pour pas payer :)” Aux US : “Je check l’ebook pour voir si j’investis ou pas.”
En France : “J’ai acheté le produit à 500€ pour éviter de payer celui à 5000€.” Aux US : “J’achète le produit à 500€ pour voir si le 5000€ vaut le coup.”
En France : “Je suis satisfait mais je préfère continuer seul (pour me prouver des trucs).” Aux US : “Bien sûr qu’on continue la collab’ : je suis satisfait :)”
En France : “Je change de presta tous les 3 mois. Question de principe.” Aux US : “On change pas une équipe qui gagne.”
En France : “Tout € sorti est une dépense.” Aux US : “Le résultat est ce qui différencie la dépense de l’investissement.”
7 erreurs qui te coûtent des ventes tous les mois — et par quoi les remplacer :
1) Aucun process. - Tu improvises chaque interaction, chaque appel, chaque relance. - Résultat : des efforts éparpillés et inefficaces.
Solution : Modélise ton planning sur un outil de mindmapping (Whimsical ou Modjo). Deux règles : 1) chaque étape doit remplir une fonction précise, 2) un seul objectif par étape.
2) Aucun tracking. - Tu avances au hasard sans la moindre idée des chiffres sous-jacents. - Résultat : impossible de t’améliorer.
Solution : Implémente un CRM qui te permet de tracker le B.A.-ba (MQL, SQL, % no-show, % closing, Time-to-close, LTV).
3) Aucune (vraie) découverte. - Tu poses des questions génériques et ne creuses pas. - Résultat : tu passes à côté des vraies douleurs de ton prospect.
Solution : Ne suppose rien. Interroge ton prospect comme un médecin en phase de diagnostic. Identifie leurs symptômes, leurs causes, et les impacts de leur problème.
4) Pitch de fonctionnalités. - Tu récites ton offre comme un catalogue et obsèdes sur les dimensions fonctionnelles de ton produit. - Résultat : ton prospect ne se sent juste pas concerné.
Solution : Ton pitch n’est pas figé — il est dynamique. Adapte-le à ton interlocuteur. Dans la majorité des cas, ne parle pas des features, mais des bénéfices.
5) Pas de next steps. - Tu termines tes appels sans définir clairement la suite. - Résultat : le deal tombe dans l’oubli.
Solution : Le prochain RDV est planifié et validé à chaque fin d’appel. Sans exception. Si ton prospect ne valide pas, tu n’as rien vendu.
6) Aucun suivi. - Tu relances à l’aveugle ou pas du tout. - Résultat : le prospect t’oublie.
Solution : Chorégraphie tes relances à cadence régulière. Ne parle pas du deal en cours — partage de la valeur : insights, études de cas, contenu pertinent.
7) Pas assez de volume. - Tu te reposes sur 2-3 leads et espères que ça suffira. - Résultats : un pipe en flux tendu, et des objectifs sous pression.
Solution : Engage une conversation avec 15-20 nouveaux leads chaque semaine. Plus de volume = plus de feedback = plus de deals closés.
Voici les erreurs de 95% des entreprises qui nous contactent.
Et les solutions qu’on implémente chez celles qui nous font confiance.
Entrepreneur content : "100% de nos clients viennent du bouche-à-oreille :)"
Moi : "Voici pourquoi c’est un ÉNORME problème 👇"
Cas typique de l’entrepreneur qui réserve un appel avec nous :
- 5-10 années d’ancienneté - 5-10 salariés dans l’équipe - 100% de l’acquisition via bouche-à-oreille/réseau - Le BàO et le réseau arrêtent de générer des opportunités.
Résultat : des performances en berne, et un état d’urgence absolu.
Cette situation, on la constate toutes les semaines depuis 4 ans.
Et à chaque fois, elle résulte d’une erreur simple :
→ Avoir considéré le bouche-à-oreille comme un canal d’acquisition en tant que tel.
Le truc, c’est qu’il n’a rien d’un canal :
- Il n’est que très peu systématisable - Il dépend de contingents externes - Donc est imprévisible par nature.
L’énorme danger, c’est de le prendre pour un actif, qui exempte d’avoir à bâtir/investir d’autres canaux.
Une lente anesthésie qui, quand arrivent les rendements décroissants, laisse la boîte sans aucun levier à actionner.
Attention : je ne dis PAS qu’il ne faut pas de bouche-à-oreille.
Je dis que le bouche-à-oreille ne doit PAS être considéré comme un canal.
Mais comme :
- L’attendu d’une Delivery exceptionnelle - Une métrique qui quantifie son Product/Market Fit - L’indicateur-clé d’une bonne capillarité de marché (on y reviendra).
La solution ?
Viser le nombre d’or de l’acquisition — 1/3 :
- 1/3 des leads en provenance du l’Inbound (Signe d’un bon rayonnement marché et d’un message compris.)
- 1/3 des leads en provenance de l’Outbound (Signe d’un fort indice de résilience et d’une capacité à générer ses propres opportunités).
- 1/3 des leads en provenance du bouche-à-oreille (Signe d’un produit qui sur-délivre, vendu à une audience ravie de l’acheter.)
Liste des trucs qui doivent absolument disparaître en 2025 :
- "Oui ok mais pour moi c’est différent".
- Attendre de s’être fait pitcher l’offre pour demander "s’il est possible de travailler au succès".
- Recruter un alternant pour déléguer un truc qu’on ne sait pas faire. (et qu’on n’avait jamais fait avant) (et se dire que c'est une bonne idée) (et ne pas comprendre pourquoi ça marche pas)
- La fonction "messages vocaux" sur WhatsApp.
- Pitcher son offre dès le 1er appel.
- Prendre une agence pour "scaler ses ventes". (alors qu’on a moins de 10 clients) (qui viennent du réseau)
- Mettre un point d’honneur à ne pas parler à ses clients. (parce qu'on sait mieux qu'eux) (et qu'au fond, on a peur de leurs retours)
- Les infographies sur l'algo de LinkedIn.
- Quitter un appel sans avoir planifié l’appel suivant.
- “Je vous envoie ma propale par email.”
- Ghoster un appel de découverte qu’on a soi-même réservé.
Elle est juste saccagée par ceux qui n’ont pas compris :
- Qu’elle n’est pas faite pour vendre, mais pour déclencher un échange. - Qu’elle n’est pas faite pour présenter une offre, mais pour susciter la curiosité. - Qu’elle ne se fait plus sur des gros volumes, mais sur des audiences très ciblées. - Que l'IA n'est une bonne idée que pour ceux qui excellent déjà sans.
On a accompagné 650+ entreprises B2B dans leur croissance.
Voici nos 7 règles pour développer une boîte :
1) Une entreprise est un organisme algorithmique.
- Entreprise = entité qui génère de la valeur et en capte une partie. - Une entité faite de systèmes, de process et d’humains. - Ton rôle : diagnostiquer, débugger et guérir en permanence.
2) Le dirigeant est son 1er plafond de verre.
- Une boîte est la somme de ses compétences et la moyenne de ses talents. - Et forcément, ça commence par celui ou celle qui en est à la tête. - La clé immuable : progresser plus vite que ta propre boîte.
3) La croissance est une conséquence, pas un a priori.
- “Faire de la croissance” ne se décrète pas. Ça se constate. - Ta boîte ne grossira qu’à hauteur de ce que ton marché désire. - Les clés : une offre exceptionnelle, comprise et visible.
4) Les 3 piliers : attirer, convertir, sur-délivrer.
- Bâtis un système qui génère et capte la demande (Acquisition). - Bâtis un système qui transforme cette demande en clients (Conversion). - Bâtis un système qui les ravit, les retient et les transforme en ambassadeurs (Delivery).
5) Rentabilité > Cashflow > Chiffre d’affaires
- Le chiffre d’affaires quantifie ta vélocité Marketing et Commerciale. - Le cashflow quantifie l’équilibre du rapport de force avec tes clients et fournisseurs. - La rentabilité quantifie la viabilité de ton modèle économique.
6) La croissance n’est jamais linéaire.
- Tout phase de croissance (Scale) provoque de l’entropie (Mess). - Qui se cristallise en dettes qui freinent, stoppent ou inversent les courbes. - Pour les relancer : identifier les dettes, les payer, et bâtir une structure plus robuste.
7) Le tracking est à la base de tout.
- Ce qui n’est pas mesuré ne peut être amélioré. - Mesure les métriques-clés de chacun de tes pôles (Market, Sales, Delivery, Finances). - Mais attention : une métrique cesse d’être pertinente dès qu’elle devient une cible (loi de Goodhart).
Scalezia
Tu préfères quel titre pour notre prochaine vidéo ?
(on accueille Thibault Renouf, CEO de Partoo qui nous partage ses plus gros apprentissages d'entrepreneurs)
4 days ago | [YT] | 0
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Scalezia
6 raisons d'offrir des contenus d'une très valeur (apprentissage + qualité) à ton audience :
1) Les prospects achètent pour la valeur qu’ils espèrent recevoir. Mais motivent l’essentiel de leur décision sur celle qu’ils ont déjà reçue.
2) Les prospects n’achètent pas de l’information, ils achètent un usage — et les résultats qu’il engendre. Donner l’information, c’est maximiser les chances de vendre l’usage qui en découle.
3) Ce que je ne donne pas, quelqu’un d’autre sera prêt à le donner à ma place. Être en mesure de donner à grande échelle n’est pas une perte de chiffre, c’est une barrière à l’entrée.
4) Ça me permet de délivrer encore plus de valeur aux quelque 500+ clients qu’on accompagne ou avons accompagnés en 3 ans.
5) Ça nous permet de délivrer encore plus de valeur à nos prospects — donc d’augmenter nos ventes.
(6) Ça me fait plaisir.)
Partez juste du principe que vous tendrez toujours à récupérer au centuple ce que vous donnez aujourd’hui.
3 months ago | [YT] | 4
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Scalezia
En France : “Je télécharge l’ebook gratuit pour pas payer :)”
Aux US : “Je check l’ebook pour voir si j’investis ou pas.”
En France : “J’ai acheté le produit à 500€ pour éviter de payer celui à 5000€.”
Aux US : “J’achète le produit à 500€ pour voir si le 5000€ vaut le coup.”
En France : “Je suis satisfait mais je préfère continuer seul (pour me prouver des trucs).”
Aux US : “Bien sûr qu’on continue la collab’ : je suis satisfait :)”
En France : “Je change de presta tous les 3 mois. Question de principe.”
Aux US : “On change pas une équipe qui gagne.”
En France : “Tout € sorti est une dépense.”
Aux US : “Le résultat est ce qui différencie la dépense de l’investissement.”
Simples observations empiriques 😎
3 months ago | [YT] | 25
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Scalezia
La différence entre "Croissance" et "Scale" 👇
3 months ago | [YT] | 17
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Scalezia
Cette méthode va te rendre 2x plus productif 👇
3 months ago | [YT] | 12
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Scalezia
7 erreurs qui te coûtent des ventes tous les mois — et par quoi les remplacer :
1) Aucun process.
- Tu improvises chaque interaction, chaque appel, chaque relance.
- Résultat : des efforts éparpillés et inefficaces.
Solution : Modélise ton planning sur un outil de mindmapping (Whimsical ou Modjo). Deux règles : 1) chaque étape doit remplir une fonction précise, 2) un seul objectif par étape.
2) Aucun tracking.
- Tu avances au hasard sans la moindre idée des chiffres sous-jacents.
- Résultat : impossible de t’améliorer.
Solution : Implémente un CRM qui te permet de tracker le B.A.-ba (MQL, SQL, % no-show, % closing, Time-to-close, LTV).
3) Aucune (vraie) découverte.
- Tu poses des questions génériques et ne creuses pas.
- Résultat : tu passes à côté des vraies douleurs de ton prospect.
Solution : Ne suppose rien. Interroge ton prospect comme un médecin en phase de diagnostic. Identifie leurs symptômes, leurs causes, et les impacts de leur problème.
4) Pitch de fonctionnalités.
- Tu récites ton offre comme un catalogue et obsèdes sur les dimensions fonctionnelles de ton produit.
- Résultat : ton prospect ne se sent juste pas concerné.
Solution : Ton pitch n’est pas figé — il est dynamique. Adapte-le à ton interlocuteur. Dans la majorité des cas, ne parle pas des features, mais des bénéfices.
5) Pas de next steps.
- Tu termines tes appels sans définir clairement la suite.
- Résultat : le deal tombe dans l’oubli.
Solution : Le prochain RDV est planifié et validé à chaque fin d’appel. Sans exception. Si ton prospect ne valide pas, tu n’as rien vendu.
6) Aucun suivi.
- Tu relances à l’aveugle ou pas du tout.
- Résultat : le prospect t’oublie.
Solution : Chorégraphie tes relances à cadence régulière. Ne parle pas du deal en cours — partage de la valeur : insights, études de cas, contenu pertinent.
7) Pas assez de volume.
- Tu te reposes sur 2-3 leads et espères que ça suffira.
- Résultats : un pipe en flux tendu, et des objectifs sous pression.
Solution : Engage une conversation avec 15-20 nouveaux leads chaque semaine. Plus de volume = plus de feedback = plus de deals closés.
Voici les erreurs de 95% des entreprises qui nous contactent.
Et les solutions qu’on implémente chez celles qui nous font confiance.
C’est cadeau.
3 months ago | [YT] | 9
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Scalezia
Entrepreneur content : "100% de nos clients viennent du bouche-à-oreille :)"
Moi : "Voici pourquoi c’est un ÉNORME problème 👇"
Cas typique de l’entrepreneur qui réserve un appel avec nous :
- 5-10 années d’ancienneté
- 5-10 salariés dans l’équipe
- 100% de l’acquisition via bouche-à-oreille/réseau
- Le BàO et le réseau arrêtent de générer des opportunités.
Résultat : des performances en berne, et un état d’urgence absolu.
Cette situation, on la constate toutes les semaines depuis 4 ans.
Et à chaque fois, elle résulte d’une erreur simple :
→ Avoir considéré le bouche-à-oreille comme un canal d’acquisition en tant que tel.
Le truc, c’est qu’il n’a rien d’un canal :
- Il n’est que très peu systématisable
- Il dépend de contingents externes
- Donc est imprévisible par nature.
L’énorme danger, c’est de le prendre pour un actif, qui exempte d’avoir à bâtir/investir d’autres canaux.
Une lente anesthésie qui, quand arrivent les rendements décroissants, laisse la boîte sans aucun levier à actionner.
Attention : je ne dis PAS qu’il ne faut pas de bouche-à-oreille.
Je dis que le bouche-à-oreille ne doit PAS être considéré comme un canal.
Mais comme :
- L’attendu d’une Delivery exceptionnelle
- Une métrique qui quantifie son Product/Market Fit
- L’indicateur-clé d’une bonne capillarité de marché (on y reviendra).
La solution ?
Viser le nombre d’or de l’acquisition — 1/3 :
- 1/3 des leads en provenance du l’Inbound
(Signe d’un bon rayonnement marché et d’un message compris.)
- 1/3 des leads en provenance de l’Outbound
(Signe d’un fort indice de résilience et d’une capacité à générer ses propres opportunités).
- 1/3 des leads en provenance du bouche-à-oreille
(Signe d’un produit qui sur-délivre, vendu à une audience ravie de l’acheter.)
Le bouche-à-oreille n’est pas un actif Marketing.
C’est un actif entrepreneurial.
3 months ago | [YT] | 7
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Scalezia
Liste des trucs qui doivent absolument disparaître en 2025 :
- "Oui ok mais pour moi c’est différent".
- Attendre de s’être fait pitcher l’offre pour demander "s’il est possible de travailler au succès".
- Recruter un alternant pour déléguer un truc qu’on ne sait pas faire.
(et qu’on n’avait jamais fait avant)
(et se dire que c'est une bonne idée)
(et ne pas comprendre pourquoi ça marche pas)
- La fonction "messages vocaux" sur WhatsApp.
- Pitcher son offre dès le 1er appel.
- Prendre une agence pour "scaler ses ventes".
(alors qu’on a moins de 10 clients)
(qui viennent du réseau)
- Mettre un point d’honneur à ne pas parler à ses clients.
(parce qu'on sait mieux qu'eux)
(et qu'au fond, on a peur de leurs retours)
- Les infographies sur l'algo de LinkedIn.
- Quitter un appel sans avoir planifié l’appel suivant.
- “Je vous envoie ma propale par email.”
- Ghoster un appel de découverte qu’on a soi-même réservé.
J'en ai oublié des tonnes.
Aidez-moi en commentaires 👇
3 months ago | [YT] | 10
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Scalezia
❌ “Je me permets de vous contacter car…”
✅ “J’ai remarqué que [ENTREPRISE] a [TRAVERSÉ ÉVÉNEMENT]”
❌ “Êtes-vous en recherche de [PRODUIT] ?”
✅ “Comment gérez-vous [PROBLÉMATIQUE] ?”
❌ Objet long, commercial et pompeux
✅ 1 ou 2 mots qui désignent le contenu de l’email
❌ 300 mots, 5 paragraphes et 4 questions
✅ 80 mots tout tassés et une seule question
❌ Cible : “DRH”
✅ Cible : “DRH, prise de poste, cabinets de conseil, 50-100 salariés, recrutements en cours”
❌ “Nous, nous, nous”
✅ “Vous, vous, vous”
❌ “Nous vous proposons de …”
✅ “Nous avons obtenu [RÉSULTAT CHIFFRÉ] pour [CLIENT SIMILAIRE]”
❌ “Quand êtes-vous disponible pour échanger ?”
✅ “J’ai [RESSOURCE À FORTE VALEUR AJOUTÉE] - souhaitez-vous que je vous l’envoie ?”
❌ KPI : "Leads intéressés"
✅ KPI : "Conversations qualifiées engagées"
La prospection n’est pas finito.
Elle est juste saccagée par ceux qui n’ont pas compris :
- Qu’elle n’est pas faite pour vendre, mais pour déclencher un échange.
- Qu’elle n’est pas faite pour présenter une offre, mais pour susciter la curiosité.
- Qu’elle ne se fait plus sur des gros volumes, mais sur des audiences très ciblées.
- Que l'IA n'est une bonne idée que pour ceux qui excellent déjà sans.
Conversation → Relation → Intérêt commun → Transaction.
Toujours dans cet ordre.
3 months ago | [YT] | 22
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Scalezia
On a accompagné 650+ entreprises B2B dans leur croissance.
Voici nos 7 règles pour développer une boîte :
1) Une entreprise est un organisme algorithmique.
- Entreprise = entité qui génère de la valeur et en capte une partie.
- Une entité faite de systèmes, de process et d’humains.
- Ton rôle : diagnostiquer, débugger et guérir en permanence.
2) Le dirigeant est son 1er plafond de verre.
- Une boîte est la somme de ses compétences et la moyenne de ses talents.
- Et forcément, ça commence par celui ou celle qui en est à la tête.
- La clé immuable : progresser plus vite que ta propre boîte.
3) La croissance est une conséquence, pas un a priori.
- “Faire de la croissance” ne se décrète pas. Ça se constate.
- Ta boîte ne grossira qu’à hauteur de ce que ton marché désire.
- Les clés : une offre exceptionnelle, comprise et visible.
4) Les 3 piliers : attirer, convertir, sur-délivrer.
- Bâtis un système qui génère et capte la demande (Acquisition).
- Bâtis un système qui transforme cette demande en clients (Conversion).
- Bâtis un système qui les ravit, les retient et les transforme en ambassadeurs (Delivery).
5) Rentabilité > Cashflow > Chiffre d’affaires
- Le chiffre d’affaires quantifie ta vélocité Marketing et Commerciale.
- Le cashflow quantifie l’équilibre du rapport de force avec tes clients et fournisseurs.
- La rentabilité quantifie la viabilité de ton modèle économique.
6) La croissance n’est jamais linéaire.
- Tout phase de croissance (Scale) provoque de l’entropie (Mess).
- Qui se cristallise en dettes qui freinent, stoppent ou inversent les courbes.
- Pour les relancer : identifier les dettes, les payer, et bâtir une structure plus robuste.
7) Le tracking est à la base de tout.
- Ce qui n’est pas mesuré ne peut être amélioré.
- Mesure les métriques-clés de chacun de tes pôles (Market, Sales, Delivery, Finances).
- Mais attention : une métrique cesse d’être pertinente dès qu’elle devient une cible (loi de Goodhart).
Les règles sont simples.
Le vrai défi, c’est de les appliquer.
3 months ago | [YT] | 12
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