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Imaginez une ancienne première dame vivant dans le luxe, se plaignant de l’occupation de sa ferme par des militaires, alors que l’est de la République Démocratique du Congo (RDC) pleure 16 millions de vies perdues dans une guerre liée à son mari. Marie Olive Lembe Kabila, épouse de l’ex-président Joseph Kabila, a dénoncé l’« occupation illégale » de la ferme de Kundelungu par les Forces Armées de la RDC (FARDC). Mais face à une tragédie humaine aussi massive, comment peut-elle comparer la perte de quelques vaches à des millions de morts ? Cette analyse explore une affaire qui révèle un fossé choquant entre l’élite et le peuple congolais.

La RDC, riche en ressources, est déchirée par des décennies de guerre, de corruption et de mauvaise gouvernance. Depuis l’arrivée au pouvoir de Félix Tshisekedi en 2019, les tensions avec Joseph Kabila, président de 2001 à 2019, s’intensifient. Accusé de soutenir les rebelles M23, responsables d’atrocités à Goma et Bukavu, Kabila reste dans l’ombre tandis que sa femme, Marie Olive, se focalise sur la perte de biens matériels. L’affaire de la ferme de Kundelungu, loin d’être une simple dispute, symbolise l’indifférence d’une élite face à la souffrance de millions de Congolais victimes des conflits dans l’est.

Marie Olive a récemment accusé les FARDC d’envahir la ferme de Kundelungu sans autorisation, pillant ordinateurs, téléphones et abattant des vaches. Elle a aussi dénoncé une perquisition à Kinshasa, dans une propriété des Kabila, qualifiant ces actes de « vol » et de « torture morale ». Les autorités affirment que ces opérations visent à récupérer du matériel militaire potentiellement caché par la famille. Pendant ce temps, l’est de la RDC reste un enfer : depuis 2003, 16 millions de personnes ont péri, 7 millions sont déplacées, et le M23, soutenu selon Tshisekedi par Kabila, intensifie ses attaques en 2025.

Pourquoi Marie Olive agit-elle ainsi ? Certains y voient une tentative de détourner l’attention des accusations contre son mari, toujours influent via son parti, le PPRD, suspendu en avril 2025 pour « haute trahison ». Sous Kabila, la corruption et les violations des droits humains ont prospéré, tandis que sa famille amassait terres et entreprises. Face aux plaintes de Marie Olive, les Congolais, marqués par la pauvreté et les massacres, s’indignent : comment ose-t-elle parler de « torture » quand des millions souffrent dans des camps de réfugiés ?

Les partisans de Kabila dénoncent une chasse aux sorcières par Tshisekedi, arguant que les perquisitions manquent de preuves et que Marie Olive est une victime collatérale. Mais ce discours peine à convaincre face à l’ampleur de la crise dans l’est. Sur les réseaux sociaux, la colère explose : les Congolais exigent justice, non seulement pour les 16 millions de morts, mais pour un système qui privilégie les élites. L’affaire de Kundelungu incarne ce contraste brutal entre le luxe des Kabila et la misère des déplacés de Goma.

En définitive, les propriétés des Kabila, aussi vastes soient-elles, ne pèsent rien face aux vies perdues. Marie Olive, en se lamentant sur ses biens, semble ignorer la douleur d’un peuple ravagé par la guerre. Tshisekedi, sous pression, doit naviguer entre justice et risque d’escalade politique. Cette affaire ne concerne pas seulement une ferme : elle met à nu les fractures d’un pays où l’élite prospère tandis que le peuple souffre. Abonnez-vous pour plonger plus loin dans cette crise qui secoue la RDC. #RDC, #Kabila, #M23, #Tshisekedi, #Congo @https://youtu.be/qpa2wzx_qjw

5 hours ago | [YT] | 0

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Imaginez un sommet international à Doha, le 18 mars 2025, où Félix Tshisekedi, président de la République démocratique du Congo, refuse de serrer la main de Paul Kagame, son homologue rwandais. Ce geste, loin d’être anodin, est un acte diplomatique chargé de sens, révélant les tensions profondes entre les deux pays. Dans l’est du Congo, la région du Kivu est ravagée par des conflits impliquant le M23, un groupe armé que Kinshasa accuse Kigali de soutenir. Ce refus de Tshisekedi, face aux caméras, symbolise une rupture et une volonté de marquer sa fermeté face à un adversaire qu’il juge responsable des malheurs de son peuple.

La rencontre de Doha, organisée par l’émir du Qatar, visait à apaiser les relations entre la RDC et le Rwanda, empoisonnées par des décennies de rivalités et de guerres. Le Kivu, riche en minerais comme le cobalt et le coltan, est le théâtre d’une crise humanitaire majeure, avec des milliers de morts et des centaines de milliers de déplacés en 2025. Le M23, qui a pris des villes clés comme Goma et Bukavu, est au cœur des accusations contre le Rwanda, bien que Kigali nie tout soutien. Ce sommet devait aboutir à un cessez-le-feu, mais les intentions de Tshisekedi étaient claires : pas de compromis avec Kagame.

Ce geste de Tshisekedi, un refus ostentatoire de saluer Kagame, va au-delà d’un simple affront. C’est une déclaration symbolique, un message à la fois pour Kagame et pour le peuple congolais, qui attend des actions fermes. Alors que Kagame cherche à polir son image face aux sanctions occidentales, Tshisekedi, critiqué pour sa gestion passée, adopte une posture inflexible. Ce moment, capturé par les médias, révèle un bras de fer où chaque détail compte, dans un contexte où le Qatar, avec ses liens économiques avec le Rwanda, jouait un rôle de médiateur ambitieux mais complexe.

Le conflit dans l’est du Congo dépasse les deux présidents. Il s’inscrit dans un jeu géopolitique impliquant des puissances comme les États-Unis, la Chine et l’Union européenne, attirées par les richesses du sous-sol congolais. Les accusations mutuelles entre la RDC et le Rwanda – Kinshasa pointant le soutien au M23, Kigali dénonçant l’appui aux FDLR – alimentent une méfiance tenace. Malgré un communiqué conjoint promettant un cessez-le-feu, l’absence de détails concrets et le rejet des pourparlers par le M23 laissent planer le doute sur la viabilité de cet accord.

Ce refus de Tshisekedi a aussi une portée intérieure. À Kinshasa, où sa légitimité est contestée après la chute de Goma, ce geste le positionne comme un leader déterminé. Sur les réseaux sociaux, beaucoup de Congolais saluent son intransigeance, bien que certains doutent de son impact réel. Par ailleurs, l’initiative qatarie a surpris des médiateurs africains comme l’Angola, soulignant les tensions entre solutions régionales et interventions extérieures. Doha illustre ainsi les défis d’une diplomatie africaine face à des enjeux globaux.

En somme, le sommet de Doha est un épisode révélateur d’un conflit ancré dans l’histoire et les ressources. Le geste de Tshisekedi, s’il renforce son image, ne résout pas les causes profondes de la crise. Sans un mécanisme solide pour appliquer le cessez-le-feu, cet accord risque de rejoindre la liste des promesses non tenues. Pour comprendre les suites de ce bras de fer, abonnez-vous et activez la cloche pour ne rien manquer de nos prochaines analyses. #TshisekediKagame, #Doha2025, #CriseCongo, #M23, #Diplomatie @https://youtu.be/gZgZzZ2QnpE

1 day ago | [YT] | 4

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Le concert « Solidarité Congo » s’est tenu avec éclat le 22 avril 2025 à Paris, réunissant un collectif d’artistes engagés pour la paix et la justice en République Démocratique du Congo (RDC). Cet événement humanitaire d’envergure a mobilisé des stars de la musique africaine, parmi lesquelles Gims, Dadju, Fally Ipupa, Soolking, Youssoupha, Gazo et Sidiki Diabaté. Leur objectif : sensibiliser à la crise dans l’Est de la RDC et collecter des fonds pour soutenir les victimes du conflit. Cette initiative, décrite comme une mobilisation sans précédent dans le monde de la musique, a marqué les esprits par son unité et son message fort.

Gims, figure emblématique de la diaspora congolaise, a porté ce projet avec une énergie communicative, galvanisant le public parisien. Sa performance, mêlant tubes incontournables et messages poignants, a incarné l’esprit de solidarité de l’événement. Dadju, autre pilier de la scène musicale franco-congolaise, a également brillé par son charisme et son engagement, rappelant l’importance de l’unité pour répondre aux défis humanitaires. Leur présence conjointe a renforcé l’impact émotionnel et culturel de ce concert exceptionnel.

Fally Ipupa, icône de la rumba congolaise, a enflammé la scène avec une prestation vibrante, célébrant la résilience du peuple congolais. Sa participation a souligné le rôle de la culture dans la mobilisation pour la justice et la paix. Le public, composé de Congolais de la diaspora et de soutiens internationaux, a vibré au rythme de ses mélodies, renforçant le sentiment d’appartenance à une cause commune. Cet événement a également été perçu comme une réponse symbolique aux tensions régionales, notamment face aux obstacles que certains, comme le président rwandais Paul Kagame, auraient préféré voir entraver cette initiative.

Le Mali était dignement représenté par Sidiki Diabaté, prince de la kora, dont la prestation a ajouté une touche d’élégance et de diversité musicale. Sa présence a illustré la solidarité panafricaine, unissant les artistes au-delà des frontières pour défendre une cause universelle. Les organisateurs ont annoncé qu’un déplacement à Goma est prévu après le concert pour superviser l’utilisation des fonds collectés, garantissant ainsi une transparence dans l’aide apportée aux victimes. Cette démarche renforce la crédibilité de l’événement et son impact concret.

Le succès de ce concert est également une victoire symbolique pour le président congolais Félix Tshisekedi, qui soutient les efforts de pacification dans l’Est de la RDC. En dépit des défis diplomatiques et des tentatives d’obstruction attribuées à certains acteurs régionaux, « Solidarité Congo » a prouvé que l’art et la musique peuvent transcender les tensions politiques. L’événement a rassemblé des milliers de personnes dans une ambiance festive et engagée, envoyant un message d’espoir et de résistance face à l’adversité.

En somme, « Solidarité Congo » a été bien plus qu’un concert : un véritable cri de ralliement pour la paix, la justice et la solidarité. Les artistes, par leur talent et leur engagement, ont offert une plateforme puissante pour dénoncer les injustices et soutenir les victimes. Ce triomphe à Paris restera gravé comme un moment historique, célébrant la force de la diaspora africaine et son rôle dans la construction d’un avenir meilleur pour la RDC et le continent. #SolidaritéCongo, #RDCPeace, #Gims, #FallyIpupa, #SidikiDiabaté @https://youtu.be/ybkR0HSmwds

1 day ago | [YT] | 2

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Ce 22 avril 2025, un événement inattendu a secoué l’est de la République Démocratique du Congo. À Kasheke, des combattants du M23, groupe rebelle semant la terreur depuis des années, ont déposé leurs armes, se rendant aux Wazalendo, milices locales d’autodéfense. Pourquoi ces rebelles, soutenus par des forces puissantes, optent-ils soudain pour la paix ? Cet événement marque-t-il un tournant dans un conflit déchirant la RDC depuis des décennies ? Cette reddition soulève des questions cruciales sur l’avenir de la région.

L’est congolais, riche en cobalt, lithium et or, est un champ de bataille où s’affrontent groupes armés, armées étrangères et milices depuis les années 1990. Le M23, formé en 2012 et soutenu selon des rapports par le Rwanda, a capturé des villes majeures comme Goma et Bukavu en 2025. Mais à Kasheke, entre 23 et 80 rebelles, selon les sources, ont capitulé. Épuisés par une guerre sans sens, ils reflètent une lassitude croissante, même au sein d’un groupe aussi redoutable.

Ce conflit est une tragédie humaine. Depuis janvier 2025, l’avancée du M23 a déplacé des centaines de milliers de personnes, transformant Goma et Bukavu en zones de guerre. Villages brûlés, familles déchirées, enfants enrôlés : le désespoir touche aussi les combattants. À Kasheke, les rebelles ont exprimé leur refus de continuer une guerre qui tue des civils. Mais cette reddition, bien que symbolique, ne résout pas un conflit aux racines complexes, mêlant discriminations ethniques, ambitions géopolitiques et pillage des ressources.

Le M23 prétend défendre les Tutsis congolais, tandis que le gouvernement de Félix Tshisekedi accuse le Rwanda de déstabiliser la RDC. Les Wazalendo, malgré leur bravoure, sont critiqués pour des exactions. La reddition des rebelles pose un dilemme : comment gérer ces combattants ? Les sanctions européennes de mars 2025 contre les leaders du M23, comme Bertrand Bisimwa, et la fatigue des combattants expliquent en partie ce geste, mais le chaos persiste.

Sur le plan géopolitique, le Rwanda, accusé de soutenir le M23, nie toute implication malgré les rapports de l’ONU. Félix Tshisekedi tente de mobiliser une coalition régionale, sans grand succès. L’ombre de Joseph Kabila, accusé de liens avec le M23, complique encore la situation. Avec une armée congolaise démoralisée et des Wazalendo désorganisés, la victoire militaire semble hors de portée, rendant des gestes comme celui de Kasheke d’autant plus significatifs.

Cette reddition n’est pas la fin de la guerre, mais un espoir fragile. Elle montre que même au cœur du chaos, des combattants peuvent choisir la paix. Pour que cet espoir perdure, la RDC doit renforcer son armée, mais aussi investir dans l’éducation et les infrastructures. Kasheke est un rappel que la paix, bien que difficile, reste possible, à condition de s’attaquer aux racines du conflit : l’exploitation des minerais et les jeux géopolitiques. #RDC, #M23, #Wazalendo, #Conflit, #Paix @https://youtu.be/LW_vJBvWkU8

2 days ago | [YT] | 14

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Le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, s’est rendu à la Nonciature apostolique de Kinshasa pour rendre hommage au pape François, récemment décédé. Ce geste, empreint d’humilité et de respect, témoigne de l’importance des relations entre la RDC et le Saint-Siège. Tshisekedi, accompagné de dignitaires, a exprimé ses condoléances au nom du peuple congolais, soulignant l’impact du pontificat de François sur la paix et la justice sociale.

La visite à la Nonciature, un lieu symbolique de la diplomatie vaticane, a été marquée par une cérémonie sobre mais significative. Le président a signé le livre de condoléances, laissant un message qui reflète l’admiration du Congo pour l’héritage spirituel et humanitaire du pape. Cet acte renforce l’image de Tshisekedi comme un leader attentif aux valeurs chrétiennes, dans un pays où la religion joue un rôle central.

Le pape François, connu pour son engagement envers les plus démunis et son plaidoyer pour l’environnement, avait visité la RDC en 2023. Cette visite avait laissé une empreinte durable, avec des messages appelant à la réconciliation et à la lutte contre l’exploitation des ressources. La présence de Tshisekedi à la Nonciature rappelle l’importance de cet échange historique et l’influence du pape sur les questions sociales congolaises.

Au-delà de l’aspect religieux, ce geste de Tshisekedi peut être perçu comme une démarche diplomatique. En honorant le pape, le président consolide les liens avec le Vatican, un acteur influent sur la scène internationale. Cette visite pourrait également avoir des répercussions positives sur l’image de la RDC à l’étranger, en projetant une image de stabilité et de respect des traditions.

La population congolaise, majoritairement chrétienne, a largement salué ce déplacement. Les réseaux sociaux, notamment sur X, ont relayé des images de la cérémonie, avec des commentaires louant l’humilité du président. Certains observateurs estiment que cet événement pourrait renforcer la popularité de Tshisekedi, dans un contexte politique parfois tendu.

Enfin, cette visite illustre le rôle de la foi dans la gouvernance en RDC. En se rendant à la Nonciature, Tshisekedi ne rend pas seulement hommage à un leader spirituel, mais il envoie un message d’unité et de compassion. Cet événement marque un moment clé dans la présidence de Tshisekedi, soulignant son engagement à conjuguer politique et valeurs humaines. #Tshisekedi, #PapeFrançois, #RDC, #Nonciature, #Hommage @https://youtu.be/jOHv-MIXH6A

2 days ago | [YT] | 0

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L’Afrique, un continent aux ressources immenses, est maintenue dans un cycle d’exploitation et de division par des stratégies historiques et méthodiques. Ce n’est pas une coïncidence si, malgré ses richesses en minerais, pétrole et terres fertiles, elle peine à émerger comme superpuissance. Des mécanismes comme la division ethnique, les conflits frontaliers et le financement de mouvements séparatistes empêchent l’unité africaine, essentielle pour sa force. L’exemple du Soudan du Sud, riche en pétrole mais déstabilisé par des rivalités alimentées de l’extérieur depuis son indépendance en 2011, illustre ce schéma.

Pour contrôler l’Afrique, des leaders corruptibles sont installés, signant des contrats défavorables et bradant les ressources nationales. Les visionnaires, comme Thomas Sankara, assassiné en 1987 pour son rêve d’autosuffisance, sont éliminés. Ce système garantit que les richesses profitent à des intérêts étrangers plutôt qu’aux populations locales. Les marionnettes au pouvoir, récompensées par des privilèges, maintiennent un statu quo où la souveraineté africaine est étouffée, envoyant un message clair : défier ce système coûte cher.

Sur le plan économique, l’Afrique est cantonnée à exporter des matières premières sans les transformer. La République démocratique du Congo, qui fournit 60 % du cobalt mondial, reste pauvre car ses minerais enrichissent des multinationales étrangères. Toute tentative de nationalisation ou d’industrialisation déclenche sanctions, déstabilisation monétaire ou conflits. Ce cycle empêche le développement d’une économie forte, indispensable pour une superpuissance, et maintient les pays africains dans une dépendance économique chronique.

L’éducation est également un levier de contrôle. Un système éducatif qui glorifie les oppresseurs, minimise les cultures africaines et favorise la fuite des cerveaux empêche l’émergence d’innovateurs. En 2019, l’Afrique subsaharienne ne comptait que 0,2 médecin pour 1000 habitants, en partie à cause de l’exode des talents formés localement. En parallèle, l’image de l’Afrique est manipulée par des médias étrangers qui insistent sur la pauvreté et les crises, sapant la confiance des Africains en leur potentiel et renforçant l’idée qu’ils dépendent de l’Occident.

La dépendance est entretenue par une dette écrasante, comme les 702 milliards de dollars de l’Afrique subsaharienne en 2022, et par des armées affaiblies, dépendantes de forces étrangères. Pourtant, l’Afrique résiste. Des figures comme Kwame Nkrumah ou des initiatives comme l’Accord de libre-échange continental africain de 2018 montrent la voie. Une nouvelle génération, connectée et consciente, repousse les régimes corrompus et développe des solutions locales. L’unité, une éducation valorisante, l’industrialisation et le contrôle du récit africain sont les clés pour briser ce cycle.

Ce combat n’est pas seulement économique ou politique, il est question de dignité et de justice. L’Afrique, résiliente face à l’esclavage, la colonisation et l’exploitation, ne demande pas la permission de prendre sa place. Elle deviendra une superpuissance, non pas si, mais quand. Pour en savoir plus sur ces dynamiques cachées, regardez la vidéo suivante et abonnez-vous pour ne rien manquer. #Afrique, #Souveraineté, #Exploitation, #Unité, #Résistance @https://youtu.be/vv7UNyXTGaE

2 days ago | [YT] | 2

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La République Démocratique du Congo (RDC) est secouée par une affaire explosive : Joseph Kabila, président de 2001 à 2019, est accusé de haute trahison. En avril 2025, Kinshasa lance une offensive sans précédent contre lui, ordonnant des poursuites judiciaires, la saisie de ses biens, la suspension de son parti, le PPRD, et des restrictions contre ses proches. Ces mesures visent à sanctionner une supposée collusion avec le Rwanda et les rebelles de l’AFC/M23, qui déstabilisent l’est du pays. Cette vidéo explore les raisons de cette escalade, les accusations portées contre Kabila, et ce qu’elles révèlent sur la crise qui ravage le Kivu.

Le conflit dans l’est de la RDC, riche en minerais, est alimenté par des groupes armés comme M23, soutenus selon Kinshasa par le Rwanda. En 2025, M23 intensifie ses attaques, capturant Goma et Bukavu, provoquant des déplacements massifs et des morts. L’Alliance Fleuve Congo (AFC), liée à M23, complique la situation. Le 19 avril 2025, le ministre de la Justice, Constant Mutamba, accuse Kabila de collaborer avec ces forces pour déstabiliser la RDC. Cette annonce s’accompagne de sanctions lourdes contre l’ancien président, suscitant des questions sur les véritables motivations du gouvernement.

Sous la présidence de Félix Tshisekedi, ces mesures contre Kabila sont autant politiques que judiciaires. Elles visent à montrer que personne, pas même un ancien chef d’État, n’est intouchable face à la trahison. Cependant, les accusations reposent sur des soupçons anciens, amplifiés par le retour de Kabila à Goma, sous contrôle rebelle, en avril 2025. Si Kinshasa y voit une preuve de complicité, Kabila et ses partisans dénoncent une chasse aux sorcières. Le PPRD, suspendu, parle de violation constitutionnelle, tandis que Kabila promet de s’adresser à la nation.

Le contexte régional ajoute une couche de complexité. Le Rwanda, dirigé par Paul Kagame, est accusé par l’ONU de soutenir M23 avec des milliers de soldats pour sécuriser ses intérêts miniers. Si Kabila est impliqué, il pourrait être un pion dans un jeu géopolitique plus vaste. Certains y voient une vengeance contre Tshisekedi, qui a marginalisé Kabila après leur alliance fragile post-2018. D’autres estiment que Kabila est un bouc émissaire, utilisé pour détourner l’attention des échecs de Tshisekedi face à la perte de villes clés et à l’humiliation de l’armée congolaise.

Cette affaire divise la RDC et risque d’aggraver les tensions. La saisie des biens de Kabila, bien que symbolique, soulève des questions sur la redistribution de ces actifs dans un pays miné par la corruption. Pendant ce temps, la crise humanitaire s’intensifie : M23 commet des atrocités, des civils fuient, et les pourparlers de paix piétinent. Accuser Kabila sans preuves solides pourrait radicaliser ses partisans et attiser le conflit avec le Rwanda, plongeant la région dans une violence accrue.

En fin de compte, cette crise dépasse Kabila. Elle met en lumière les défis de la RDC : insécurité, pauvreté, luttes de pouvoir. Les décisions d’avril 2025 pourraient redéfinir l’avenir du pays. Cette vidéo invite à plonger dans les coulisses de cette affaire, des jeux d’influence aux enjeux miniers, pour mieux comprendre le destin d’un géant africain. Abonnez-vous pour explorer davantage les dynamiques qui façonnent la RDC et l’Afrique centrale. #RDC, #Kabila, #M23, #Tshisekedi, #Rwanda @https://youtu.be/ERLG4sMtKNg

3 days ago | [YT] | 1

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Le décès du Pape François, annoncé le 21 avril 2025, a provoqué une onde de choc mondiale. En République Démocratique du Congo, le président Félix Tshisekedi a rendu un vibrant hommage à un homme qu’il a qualifié d’« ami du peuple congolais ». Ce moment de deuil est aussi une invitation à réfléchir à l’héritage puissant laissé par ce chef spirituel, dont la visite en RDC en 2023 avait marqué un tournant historique. Le Pape François n’était pas seulement un leader religieux, il était une voix pour les sans-voix, un défenseur infatigable de la justice et de la paix.

En février 2023, sa visite à Kinshasa avait redonné espoir à une population meurtrie par les conflits et l’injustice. Son appel direct aux puissances étrangères – « Retirez vos mains de la RDC ! » – avait retenti comme un cri libérateur. Aux côtés de Tshisekedi, il avait dénoncé l’exploitation systémique des ressources du pays et les violences persistantes dans l’Est. Ce discours, simple et percutant, a profondément marqué les esprits et reste gravé dans la mémoire collective comme un acte de courage moral.

L’impact de François allait bien au-delà des mots. Sa messe géante à l’aéroport de Ndolo avait rassemblé plus d’un million de fidèles, galvanisés par son message d’unité et de réconciliation. Le cardinal Fridolin Ambongo avait relayé cet appel en insistant sur la nécessité d’élections transparentes. Dans une RDC souvent déchirée par des tensions politiques, cette voix spirituelle a servi de boussole éthique et sociale, rappelant aux dirigeants leur responsabilité devant Dieu et devant le peuple.

Mais les tensions entre l’Église catholique et le pouvoir politique n’ont jamais été totalement apaisées. La visite du Pape François a permis un rapprochement, mais les critiques de l’Église sur la gouvernance de Tshisekedi persistent. Malgré tout, ce moment de communion nationale a renforcé l’importance de l’Église comme acteur clé dans la construction démocratique. Pour Tshisekedi, qui revendique un lien fort avec la foi chrétienne, le Pape est devenu à la fois guide moral et figure de légitimité internationale.

L’héritage du Pape François pose néanmoins une question : comment transformer cette inspiration en changement concret ? Les défis restent immenses. L’Est du pays est toujours en proie aux violences, la pauvreté est endémique, et la corruption freine les réformes. Mais les paroles de François continuent d’inspirer la société civile et les mouvements citoyens, qui réclament plus de justice, de transparence et de paix. L’Église catholique reste un levier puissant, à condition que ses appels soient suivis d’actions.

En conclusion, la mort du Pape François n’est pas seulement la perte d’un leader spirituel, c’est un signal d’alarme pour la RDC et l’Afrique tout entière. Tshisekedi a salué un homme qui a osé dire la vérité, même aux puissants. Désormais, c’est aux Congolais de faire vivre cet héritage. Comme l’a dit François : « La paix commence dans les cœurs. » Et si cette paix prend racine, alors son message ne mourra jamais. #PapeFrançois, #RDC, #Tshisekedi, #Paix, #Justice @https://youtu.be/rU_XKVzD_nE

3 days ago | [YT] | 4

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L’Église peut-elle orchestrer un retour politique au Congo ? Dans son message de Pâques 2025, le cardinal Fridolin Ambongo a appelé à un dialogue national sous l’égide de la CENCO et de l’ECC pour répondre à la crise à l’Est. Officiellement, il s’agit de paix via un « Pacte social pour le bien-vivre ensemble ». Mais certains soupçonnent un plan caché visant à ramener Joseph Kabila, président de 2001 à 2019, au pouvoir. Cette vidéo explore les enjeux et les zones d’ombre de cette initiative audacieuse.

La RDC, riche en minerais, est ravagée par des conflits, notamment à l’Est où le M23, soutenu par le Rwanda, a pris Goma, déplaçant des milliers de personnes. Dans ce chaos, Ambongo, archevêque influent de Kinshasa, propose un dialogue inclusif réunissant politiciens, société civile et même groupes armés. Mais le timing est suspect : Kabila, retiré depuis 2019, annonce en avril 2025 son retour pour « résoudre la crise ». Coïncidence ou stratégie orchestrée par l’Église ?

L’histoire de la CENCO, dirigée par Ambongo, alimente les doutes. En 2016, elle a négocié l’accord de la Saint-Sylvestre avec Kabila, mais les promesses de transition ont échoué. En 2020, des rencontres discrètes entre la CENCO et Kabila ont suscité des spéculations. Aujourd’hui, l’UDPS de Félix Tshisekedi rejette le Pacte social, accusant l’Église d’outrepasser son rôle spirituel. Ambongo, critiquant autrefois Kabila, serait-il devenu son allié déguisé ?

La CENCO et l’ECC, représentant 65 % des Congolais (40 % catholiques, 25 % protestants), ont un poids colossal. Leur passé, comme la mobilisation contre Kabila en 2018, montre leur influence politique. Le Pacte social, fruit de consultations, vise une paix durable en incluant le M23, une démarche controversée. Mais le retour médiatisé de Kabila en mars 2025, suivi de l’appel d’Ambongo, fait craindre une manoeuvre pour réhabiliter l’ex-président.

Et si Ambongo agissait pour la paix ? La crise à l’Est, avec des milliers de morts depuis janvier 2025, est une urgence humanitaire. Les initiatives internationales ont échoué, et Ambongo dénonce les complicités avec le Rwanda. Son Pacte pourrait être une tentative sincère de sortir du cycle de violence. Cependant, inclure des groupes armés et le passé ambigu de la CENCO, qui a parfois soutenu Kabila, sèment le doute sur ses intentions.

Le rejet de l’UDPS en avril 2025 marque un tournant. Pour eux, Ambongo menace l’autorité de Tshisekedi. Cette tension révèle la frontière floue entre foi et pouvoir en RDC. Le Pacte social est-il une lueur d’espoir ou un piège politique ? Alors que le Congo oscille entre dialogue et chaos, cette analyse décrypte les enjeux. Abonnez-vous pour explorer les coulisses du pouvoir à Kinshasa dans nos prochaines vidéos ! #RDC, #FridolinAmbongo, #JosephKabila, #CENCO, #PacteSocial @https://youtu.be/UelYP6Ne3Kk

3 days ago | [YT] | 0

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Les récentes indignations face à l’accord minier entre la RDC et les États-Unis semblent bien opportunistes. Pendant des décennies, le Congo a été déchiré par des conflits, des massacres et une exploitation brutale, dans l’indifférence générale. Aucun mouvement, aucun hashtag, aucun cri d’alarme n’a retenti. Aujourd’hui, alors que le Congo cherche à reprendre le contrôle de ses ressources pour protéger son peuple, les critiques fusent. Cet accord, bien qu’imparfait, marque un tournant : pour la première fois, le Congo participe activement à la définition de son avenir, et cela dérange.

Ce qui agace, c’est clair : certains ne profitent plus du chaos. Quand les minerais congolais étaient pillés discrètement, tout le monde fermait les yeux. Mais dès que le Congo agit ouvertement, cela devient un problème. Cette hypocrisie est flagrante. Le Congo n’a pas besoin de la permission d’autrui pour avancer. Après des siècles de souffrances silencieuses, la RDC affirme sa souveraineté. Cet accord, centré sur le cobalt et le lithium, essentiels à la révolution verte, est un pas vers un avenir où les Congolais bénéficieront enfin de leurs richesses.

Le Congo possède plus de 70 % des réserves mondiales de cobalt, crucial pour les batteries des smartphones, ordinateurs et véhicules électriques, ainsi que d’immenses gisements de lithium, cuivre et uranium, estimés à 24 000 milliards de dollars. Pourtant, cette richesse n’a jamais profité aux Congolais. À Kolwezi, les mineurs artisanaux travaillent dans des conditions inhumaines pour quelques dollars par jour. À Goma, les violences des groupes armés persistent. Cet accord avec les États-Unis pourrait changer la donne, en finançant écoles, hôpitaux et routes, tout en envoyant un message fort : le Congo n’est plus à vendre.

Les critiques, bien que légitimes, révèlent une double norme. L’extraction minière cause des dégâts environnementaux et sociaux, comme la pollution des rivières et le déplacement de communautés. Mais rejeter cet accord sans alternative condamne le Congo au statu quo : un pays riche avec un peuple pauvre. Pendant des décennies, la Chine a dominé le secteur minier congolais, contrôlant 80 % de la production de cobalt raffiné, souvent au prix de dettes écrasantes. Aujourd’hui, sous l’administration Trump en 2025, les États-Unis entrent en jeu, et le Congo, dirigé par Félix Tshisekedi, y voit une chance de diversifier ses partenaires et de renforcer sa sécurité face aux rebellions comme le M23.

Cet accord dépasse la simple question des minerais : c’est une bataille pour le récit. Le Congo refuse d’être vu comme un pays maudit. À travers sa culture vibrante et son esprit indomptable, il se positionne comme un acteur, pas une victime. Les inquiétudes sur l’environnement et l’équité doivent être entendues, mais le Congo ne peut plus attendre. Il doit saisir cette opportunité pour construire un avenir où ses ressources servent son peuple, tout en restant vigilant pour éviter que seules les élites en profitent.

En somme, cet accord est un défi au monde : reconnaître le Congo comme un partenaire égal. Ce n’est pas parfait, mais c’est un début. Le Congo réécrit son histoire, et si cela dérange, tant mieux. Cette vidéo plonge dans les luttes et les espoirs d’un pays en pleine transformation. Abonnez-vous, partagez, et amplifiez les voix congolaises. Le temps du Congo est venu. #RDC, #Cobalt, #Lithium, #Souveraineté, #RévolutionVerte @https://youtu.be/rkkozZI3i6M

4 days ago | [YT] | 6