Dans cette vidéo, Hélène Grosbois, ancienne cadre de la finance reconvertie dans l’écologie, aborde les enjeux environnementaux globaux et les limites des solutions actuelles. Elle explique que nous sommes entrés dans une 6e extinction de masse, marquée notamment par une perte alarmante de 80 % de la biomasse d’insectes volants en zones protégées en Allemagne entre 1990 et 2016. Selon elle, la destruction du vivant, largement causée par l’agrochimie, est un problème encore plus urgent que le réchauffement climatique.
Hélène critique vivement les institutions environnementales et économiques, comme l’IPCC et l’IPBES, qu’elle perçoit comme incohérentes et manipulées par des intérêts politiques ultralibéraux. Elle pointe aussi le rôle des ONG et des institutions européennes dans des initiatives de "croissance verte", souvent qualifiées de greenwashing inefficace.
Sa reconversion, motivée par une quête de sens, l’a menée à quitter Bruxelles pour vivre à la campagne, où elle s’est formée à l’agriculture biologique et à la gestion des semences. Elle insiste sur la nécessité de se reconnecter avec le vivant, critiquant la déconnexion des sociétés modernes et leur dépendance à des systèmes rigides.
Enfin, Hélène évoque l’"impérialisme vert" des pays occidentaux, qui imposent des contraintes environnementales aux nations émergentes sans prendre en compte leur besoin de développement. La vidéo appelle à une réflexion critique et systémique, invitant chacun à repenser ses priorités pour adopter des solutions réellement adaptées à la crise environnementale.
Regenere / Thierry Casasnovas
Dans cette vidéo, Hélène Grosbois, ancienne cadre de la finance reconvertie dans l’écologie, aborde les enjeux environnementaux globaux et les limites des solutions actuelles. Elle explique que nous sommes entrés dans une 6e extinction de masse, marquée notamment par une perte alarmante de 80 % de la biomasse d’insectes volants en zones protégées en Allemagne entre 1990 et 2016. Selon elle, la destruction du vivant, largement causée par l’agrochimie, est un problème encore plus urgent que le réchauffement climatique.
Hélène critique vivement les institutions environnementales et économiques, comme l’IPCC et l’IPBES, qu’elle perçoit comme incohérentes et manipulées par des intérêts politiques ultralibéraux. Elle pointe aussi le rôle des ONG et des institutions européennes dans des initiatives de "croissance verte", souvent qualifiées de greenwashing inefficace.
Sa reconversion, motivée par une quête de sens, l’a menée à quitter Bruxelles pour vivre à la campagne, où elle s’est formée à l’agriculture biologique et à la gestion des semences. Elle insiste sur la nécessité de se reconnecter avec le vivant, critiquant la déconnexion des sociétés modernes et leur dépendance à des systèmes rigides.
Enfin, Hélène évoque l’"impérialisme vert" des pays occidentaux, qui imposent des contraintes environnementales aux nations émergentes sans prendre en compte leur besoin de développement. La vidéo appelle à une réflexion critique et systémique, invitant chacun à repenser ses priorités pour adopter des solutions réellement adaptées à la crise environnementale.
9 months ago | [YT] | 285