Dans le silence où le temps se suspend, quand la respiration de l’Univers épouse celle de l’Âme, un espace s’ouvre : le Sabbat Sacré.
Non pas un jour marqué d’encre dans les calendriers des hommes, mais l’instant éternel où l’Être se souvient de sa Source.
Les sages l’avaient murmuré, les prophètes l’avaient annoncé : il existe un repos qui n’est pas sommeil, mais Union.
Un repos qui n’apaise pas seulement la chair, mais qui restitue à l’esprit sa royauté perdue. C’est le rendez-vous avec le Divin, là où le souffle se fait prière, et où chaque battement de cœur devient offrande.
Mais les siècles, dans leur course insatiable, ont voilé ce mystère sous des obligations, des rites figés, des observances sans âme.
Ils ont transformé le sanctuaire vivant en sablier stérile, oubliant que le Sabbat n’est pas une prison du temps, mais une libération.
Pourtant, la mémoire subsiste. Elle vibre dans les fibres de l’Âme, comme une nostalgie douce : celle du jardin intérieur où l’humain et le divin marchaient côte à côte, sans séparation.
Le Sabbat Sacré n’est pas une contrainte, mais une alliance retrouvée. C’est la main invisible qui nous tire hors du tumulte, pour nous ramener dans le cercle où tout est déjà accompli.
Aujourd’hui encore, il se dresse devant nous comme une porte antique, gravée de runes de feu. À gauche, la course effrénée des heures et des listes infinies. À droite, la paix immuable, l’éternité en acte, l’espace où le Divin se fait intime. Celui qui ose franchir cette Porte découvre que le Sabbat n’est pas une pause… mais un trône. Un trône intérieur où l’Âme, couronnée de lumière, siège à nouveau, gouvernant avec sagesse et amour. Alors, voyageur du Vivant, ne crains pas de t’arrêter. Car t’arrêter, c’est entrer. Entrer, c’est revenir. Et revenir, c’est retrouver ton Nom inscrit dans la mémoire du Divin.
Le Sabbat Sacré est ton rendez-vous avec l’Éternel : une étreinte, une réconciliation, une flamme qui ne s’éteint pas. Ce n’est pas toi qui viens à Lui. C’est Lui qui t’attend, depuis toujours, dans le sanctuaire de ton propre cœur.
Le Phare de la Coccinelle BY-SEDNA
Chers chercheurs de Lumière,
Dans le silence où le temps se suspend, quand la respiration de l’Univers épouse celle de l’Âme, un espace s’ouvre : le Sabbat Sacré.
Non pas un jour marqué d’encre dans les calendriers des hommes, mais l’instant éternel où l’Être se souvient de sa Source.
Les sages l’avaient murmuré, les prophètes l’avaient annoncé : il existe un repos qui n’est pas sommeil, mais Union.
Un repos qui n’apaise pas seulement la chair, mais qui restitue à l’esprit sa royauté perdue.
C’est le rendez-vous avec le Divin, là où le souffle se fait prière, et où chaque battement de cœur devient offrande.
Mais les siècles, dans leur course insatiable, ont voilé ce mystère sous des obligations, des rites figés, des observances sans âme.
Ils ont transformé le sanctuaire vivant en sablier stérile, oubliant que le Sabbat n’est pas une prison du temps, mais une libération.
Pourtant, la mémoire subsiste.
Elle vibre dans les fibres de l’Âme, comme une nostalgie douce : celle du jardin intérieur où l’humain et le divin marchaient côte à côte, sans séparation.
Le Sabbat Sacré n’est pas une contrainte, mais une alliance retrouvée.
C’est la main invisible qui nous tire hors du tumulte, pour nous ramener dans le cercle où tout est déjà accompli.
Aujourd’hui encore, il se dresse devant nous comme une porte antique, gravée de runes de feu.
À gauche, la course effrénée des heures et des listes infinies.
À droite, la paix immuable, l’éternité en acte, l’espace où le Divin se fait intime.
Celui qui ose franchir cette Porte découvre que le Sabbat n’est pas une pause… mais un trône.
Un trône intérieur où l’Âme, couronnée de lumière, siège à nouveau, gouvernant avec sagesse et amour.
Alors, voyageur du Vivant, ne crains pas de t’arrêter.
Car t’arrêter, c’est entrer.
Entrer, c’est revenir.
Et revenir, c’est retrouver ton Nom inscrit dans la mémoire du Divin.
Le Sabbat Sacré est ton rendez-vous avec l’Éternel : une étreinte, une réconciliation, une flamme qui ne s’éteint pas.
Ce n’est pas toi qui viens à Lui.
C’est Lui qui t’attend, depuis toujours, dans le sanctuaire de ton propre cœur.
4e (Dé)-Command'Être
https://youtu.be/CgjBu4tNmFs?si=2RKzF...
Soin du KAIROS
https://youtu.be/QaWIHUX_vUg?si=lC1tG...
Sedna 🐞
2 months ago | [YT] | 1