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2 years ago | [YT] | 19



@shaddouida3447

ROLAND JULES NDJAMBE Maîtriser les risques et prévenir la corruption: Guide stratégique et opérationnel pour renforcer l’intégrité, la conformité et la gouvernance des organisations Aperçu du livre Comment prévenir les scandales, renforcer la confiance et sécuriser vos décisions ? Ce guide pratique s’adresse aux dirigeants, cadres, responsables conformité et auditeurs internes qui souhaitent anticiper les risques, détecter les signaux faibles de corruption et structurer une gouvernance éthique au cœur de leur organisation. Élaboré à partir d’expériences concrètes dans de grands groupes internationaux (Volkswagen, ENGIE, BNP Paribas…), cet ouvrage propose une méthodologie accessible et rigoureuse pour : Comprendre et cartographier les risques réels Mettre en place un contrôle interne efficace Créer une culture d’intégrité à tous les niveaux Intégrer les nouvelles obligations réglementaires (AFA, LCB-FT, lanceurs d’alerte, KYC, etc.) 💡 En bonus : une réflexion inédite sur la corruption comme enjeu de sécurité nationale, avec des cas pratiques illustrés. 📘 Ce livre est un outil de terrain, conçu pour transformer la conformité en levier de performance durable. "L’éthique n’est pas un choix moral, c’est une stratégie de protection et d’influence

3 months ago | 1

@shaddouida3447

Michel Hunault La lutte contre la corruption, le blanchiment, la fraude fiscale: L'exigence d'éthique dans les mouvements financiers Détails du livre Le fléau de la corruption n'épargne aucun pays, aucun secteur d'activité. Il mine les démocraties et sape la confi ance des citoyens envers leurs institutions. Longtemps considéré comme inévitable, il a fait l'objet d’une prise de conscience tardive de la part de la communauté internationale. Depuis la création du GAFI, Groupe d’action financière, en 1989, des institutions de veille, de contrôle et de régulation des mouvements financiers sont parvenues à se constituer. En France, ce cadre inclut la loi « Sapin 2 » sur la transparence, la lutte contre la corruption et la modernisation de la vie économique. Quelles sont la portée et les limites de ces mesures ? C’est le bilan que dresse cet ouvrage écrit par des acteurs du mouvement de régulation en cours et que cosignent également Christiane Taubira, ancienne ministre de la Justice, Enrico Letta, ancien président du Conseil italien et Ángel Gurría, secrétaire général de l’OCDE. Tous soulignent les enjeux considérables de la lutte contre la corruption, le blanchiment de l’argent mafieux et la fraude fiscale ; ces enjeux ne touchent pas seulement à l’éthique, mais aussi à la sécurité, à la stabilité des États et à l’endiguement du terrorisme.

3 months ago | 1

@shaddouida3447

Pierre Audigier et 2 de plus Alerte - Nucléaire, la grande méprise des antinucléaires (Hors collection) Détails du livre ALERTE ! Est une collection ouverte aux lanceurs d'alerte désireux de poser les bonnes questions à travers un véritable travail de journaliste ou de chercheur. Dirigée par Jean-Pierre Guéno, elle se veut un lieu refuge contre lapensée formatée à travers des titres forts, des ouvrages fluides et percutants. La France est à la veille de décisions majeures qui vont déterminer l'avenir de son industrie nucléaire : prolongation ou non de la durée de vie des réacteurs du parc actuel au-delà de 40 ans, fermeture anticipée de 12 réacteurs (en plus de Fessenheim 1 & 2), mise en service possible de l'EPR (European Pressurised water Reactor) de Flamanville, lancement éventuel d'un modèle optimisé de l'EPR de Flamanville - l'EPR2, etc.Ce livre s'adresse à celles et à ceux qui, sans être hostiles a priori au nucléaire, s'interrogent sur tel aspect du rôle et de la place du nucléaire dans la politique énergétique de notre pays. On y trouve un historique de l'industrie nucléaire française depuis ses débuts jusqu'à aujourd'hui : la décision du général de Gaule de 1945, la construction du parc actuel, l'arrivée aux affaires de François Mitterand puis celle de François Hollande qui marque un tournant dans l'attitude de l'État vis-à-vis du nucléaire civil pour conclure en analysant le contexte politique qui prévaut en cette fin d'année 2020.On y explicite les aspects les plus controversés de l'énergie nucléaire. L'idée n'est pas de prendre position de façon catégorique pour ou contre le nucléaire, mais d'avoir en tête les vraies clefs du débat afin de ne pas tomber trop vite dans la pensée commune non argumentée. Pierre Aulagnier donne toutes les clefs du débat, qui ne mérite pas de se radicaliser au point que l'on finisse par jeter dans la précipitation le bébé du nucléaire avec l'eau du bain de la diversification énergétique. De nombreux français croient que les centrales nucléaires contribuent « beaucoup » à l'effet de serre alors qu'elles sont en réalité la seule énergie qui n'attaque pas la couche d'ozone.

3 months ago | 1

@shaddouida3447

Frédérique Farouz-Chopin La lutte contre la corruption Aperçu du livre L’objectif de cette recherche sur la lutte contre la corruption est de démontrer que le délit de corruption présente un caractère mutant qui lui permet de changer radicalement de forme au gré des domaines auxquels il s’attaque. Ainsi, il ne revêt pas la même forme quand il se développe dans les domaines des marchés publics, des délégations de service public, de l’urbanisme commercial, de l’immobilier, du commerce international, du sport, de la publicité ou du financement de la vie politique. Ce constat du caractère mutant du délit permet de mieux comprendre les difficultés qu’a pu rencontrer le législateur dans la lutte contre la corruption et l’échec des réponses étatiques qui ont été données jusque-là. Dès lors, une adaptation de la lutte contre la corruption au caractère mutant du délit s’avère nécessaire, elle implique une double adaptation d’une part, une adaptation spatio-temporelle, et d’autre part une adaptation relative aux interventions. Les adaptations spatio-temporelles imposent de tenir compte non seulement des insuffisances et de l’inadaptation dans le temps des mesures prises jusque là mais également de la politique menées par les autres États ainsi que des perspectives d’harmonisation et de leurs obstacles. Les adaptations relatives aux interventions conduisent, elles, à prendre en compte d’une part, l’émergence, à côté des intervenants traditionnels, de nouveaux intervenants dans la lutte contre la corruption (citoyens, ONG, associations, presse) et d’autre part, la nature et les limites juridiques, criminologiques, sociologiques et éthiques de ces adaptations. Enfin, pour conclure, une série de propositions sont formulées dans le cadre d’une approche multidisciplinaire du délit dans le but d’améliorer la lutte contre la corruption en tenant compte de cet aspect nouveau du délit : son caractère mutant.

3 months ago | 1

@shaddouida3447

Philippe Chabaud Comment lutter contre la corruption des politiques et les exactions gouvernementales ? Aperçu du livre Cet opuscule présente une proposition pour lutter contre notre oligarchie, ses incapacités et ses méthodes déplorables de gouvernance - sujet traité dans un précédent opuscule sous le titre « les Enarques ou l’oligarchie française ». Ce pouvoir est l’objet de corruptions diverses de la part des élus mais aussi d’exactions des hauts fonctionnaires, couvertes par les ministres. Pourquoi et comment combattre de tels fléaux ? Le mépris manifesté surtout par ce dernier quinquennat à l’égard des citoyens et des lois, incite naturellement à la révolte. Mais, preuve est faite que les manifestations, quelles qu’elles soient, se révèlent inutiles. Le mouvement des « Gilets Jaunes » par la pluralité d’idées soulevées et par l’absence de cohésion entre ses leaders s’essoufflera obligatoirement en restant dans la légalité. Le « Convoi de la liberté », ce nouvel avertissement de mécontentement, n’est qu’un « coup d’épée dans l’eau » face à un déploiement de force disproportionnépour un simple regroupement de véhicules et camping-cars particuliers. Par la simple connaissance de l’absence d’approvisionnement en vaccin Janssen pour la troisième vaccination anti-covid, nous aurions pu simplement « tweeter » par milliers les questions suivantes à notre Président. Pourquoi exigez-vous la seule vaccination Pfizer ? Pourquoi ne tenez-vous pas compte de l’échec de cette troisième vaccination par ce vaccin Pfizer en Israël ? Pourquoi ne pas autoriser ou mieux favoriser la vaccination avec le vaccin « Janssen » qui est plus efficace et moins nocive ? Avec des milliers de « tweets » lui prouvant que « sa décision » était inadéquate, inutile, voire suspecte à deux mois des élections présidentielles ( confer les scandales financiers antérieurs pour ces mêmes élections ), peut-être se serait-il abstenu de prendre cette mesure après mûres réflexions au lieu de vouloir nous « emmerder » inutilement. La lutte contre la corruption et les exactions doit donc commencer par la divulgation d’informations regroupées en banques de données, utilisant notamment les scandales diffusés par la presse. A partir de telles renseignements à disposition de tous les citoyens, une lutte efficace et préventive pourra être entreprise par tous les citoyens, à l’insu des forces de l’ordre et de la justice.

3 months ago | 1

@shaddouida3447

Denis DEN Dissuasion nucléaire Doctrine, pouvoir et risques: L’arme de la peur : stabilité ou illusion ? Aperçu du livre Dissuasion Nucléaire : Doctrine, Pouvoir et Risques propose une exploration complète et rigoureuse de la stratégie nucléaire comme outil central de sécurité internationale depuis 1945. À travers une approche structurée en chapitres thématiques et historiques, l’auteur décrypte les fondements de la dissuasion, ses évolutions doctrinales, ses implications géopolitiques et ses limites humaines, éthiques et technologiques. Le livre débute par une mise en perspective historique, depuis Hiroshima jusqu’à la fin de la Guerre froide, en passant par les grandes crises (Cuba, Corée, Kippour) et les traités majeurs (TNP, INF, START). Il analyse ensuite les doctrines des principales puissances nucléaires – États-Unis, Russie, Chine, France, Inde – et dresse un état des lieux des arsenaux, des triades stratégiques, et des systèmes de commandement. Au-delà de l’aspect militaire, l’ouvrage interroge le rôle de la dissuasion dans la diplomatie, les alliances, les conflits régionaux et les dynamiques de prolifération. Il aborde également les nouveaux défis posés par l’intelligence artificielle, le cyberespace et les risques d’escalade accidentelle. Enfin, une réflexion approfondie est consacrée aux dilemmes moraux, aux conséquences humanitaires, aux efforts de désarmement et à la place de la société civile dans un débat où l’enjeu ultime reste la survie collective. Alliant rigueur intellectuelle et accessibilité, cet ouvrage s’adresse aux étudiants, chercheurs, décideurs, ainsi qu’à tout citoyen soucieux de comprendre l’un des fondements les plus redoutés – et les plus méconnus – de la stabilité internationale contemporaine.

3 months ago | 1

@shaddouida3447

Sandra Birtel Code et guide pratique de la lutte contre la corruption Aperçu du livre Selon le Parlement européen, la corruption en Europe pourrait totaliser plus de 990 milliards d’euros. Ce problème reste au centre des préoccupations, comme en témoigne la récente proposition de directive européenne déposée en mai dernier. Cette directive vise à instaurer la responsabilité pénale des personnes morales en cas d’infractions commises à leur avantage, ainsi que la création de listes de sanctions spécifiques à la corruption. Ces changements législatifs européens s’annoncent comme une transformation majeure et entraîneront un flot de nouveaux textes à travers toute la région. Dans ce contexte, le Code et guide pratique de la lutte contre la corruption se présente comme un outil indispensable pour tous ceux chargés de garantir la conformité et le respect de l’éthique au sein de leurs entreprises. Face à une réglementation croissante et à des défis économiques, concurrentiels et internationaux, les entreprises doivent se conformer tout en maîtrisant leurs coûts et leurs risques. Ainsi, il est essentiel de disposer d’ouvrages clairs et pédagogiques. Cet ouvrage s’adresse à un large éventail d’acteurs, du secteur privé au secteur public, en passant par les entreprises financières, industrielles, et les cabinets de conseil ou d’avocats. Il recense tous les textes internationaux, régionaux et nationaux pertinents, et offre un guide pratique pour la mise en œuvre opérationnelle des obligations en matière de lutte contre la corruption. Destiné aux marchés français, luxembourgeois et belge, il couvre l’ensemble des législations, pratiques et attentes des régulateurs. Enrichi de cas concrets, de jurisprudences et de recommandations de lecture, cet ouvrage se veut un outil complet pour accompagner les professionnels dans leur démarche.

3 months ago | 1

@shaddouida3447

Gilles Gaetner La corruption en France: La République en danger Détails du livre Qu'en est-il aujourd'hui de la corruption en France ? Pour répondre à cette question, Gilles Gaetner a mené une longue enquête, et nous montre par des dizaines d'exemples que la corruption est plus que jamais présente dans l'hexagone. L'ouvrage est divisé en deux parties. La première traite de la problématique de la corruption au sens large (trafic d'influence, détournements de fonds publics, prise illégale d'intérêts). La seconde aborde la question de manière alphabétique, de A à Z. On y évoque les corrompus, ceux qui luttent contre la corruption, les lieux et les affaires les plus marquantes, symboles de la corruption en France aujourd'hui. Bien évidemment, pour rédiger ce who's who de la corruption, Gilles Gaetner fait reposer son enquête sur toutes sortes de renseignements inédits, mais aussi de documents officiels, de procès verbaux, de rapports de hauts magistrats. Un constat accablant.

3 months ago | 1

@shaddouida3447

Jalol Nasirov La lutte contre la corruption : Le rôle des institutions multilatérales de développement Aperçu du livre Plus de 1 000 000 000 de dollars sont dépensés en pots-de-vin chaque année. Les jeunes générations qui grandissent dans un système corrompu prennent souvent pour modèle des personnes corrompues, ce qui est inquiétant pour l'avenir des pays en développement. La lutte contre la corruption a longtemps été ignorée, négligée et sous-discutée dans le domaine de l'économie et de la politique du développement. Ce livre examine les stratégies actuelles de lutte contre la corruption des principales institutions multilatérales de développement.

3 months ago | 1

@joelbelanger3752

ICI LE DIRECTEUR.

1 year ago | 1

@shaddouida3447

La ville verte passera aussi par la terre En outre, des obstacles à la généralisation des fermes verticales subsistent. Aucune étude n’a encore été réalisée pour démontrer qu’elles sont plus rentables que les cultures conventionnelles. “Mais elles produisent aujourd’hui en trop petites quantités pour être compétitives”, constate André Torre, directeur de recherche à l’Inra AgroParisTech, dans Géo. Le coût des fermes verticales pourrait aussi se révéler prohibitif, à cause du prix très élevé du foncier, notamment à Paris ou New York. Et si construire du neuf coûte cher, il en est de même pour la transformation d’immeubles en fermes urbaines. “Le coût de mise en place d’une ferme verticale est élevé, et la technologie associée complexe. De plus, tous les végétaux ne peuvent être cultivés ainsi : exit les légumes trop encombrants ou au cycle trop long, qui ne seront pas rentables”, note PwC. Dans son étude sur les fermes verticales, le cabinet PwC indique que “l’agriculture urbaine peut venir combler les manques de l’agriculture traditionnelle”, mais que cette dernière “demeurera capitale”. Notamment parce que “les terres agricoles rendent bien des services écologiques et écosystémiques : drainage des eaux pluviales, maintien de la biodiversité, etc.” “Soyons honnêtes, cette juxtaposition de tours écologiquement remarquables et responsables ne transformera jamais Paris en une ville durable. C’est sans doute un petit peu plus bas qu’il faut d’abord regarder. Paris manque de verdure, c’est un fait, c’est une ville extrêmement concentrée, mais avant de se tourner vers le ciel, il s’agirait bien d’en renforcer durablement les racines”, écrit de son côté Édouard Malsch, urbaniste-géographe et cofondateur du site UrbaNews. Selon lui, attention à ne pas tomber dans le “greenwashing”. De nombreux experts en sont donc convaincus, en 2050, l’agriculture urbaine restera un complément de l’agriculture traditionnelle. Et les villes, loin d’être coupées de l’extérieur, seront plus que jamais liées aux campagnes. L’Inrae, qui a publié en 2018 une étude prospective sur l’avenir des villes et de la ruralité, imagine le scénario des “campagnes au service de la densification urbaine”, dans lequel les espaces ruraux à la périphérie des métropoles seraient “pour partie intégrés aux villes”, et où “ce qui est en dehors” deviendrait “une mosaïque de sites hyperspécialisés dans des fonctions logistiques, énergétiques ou écologiques au service des villes”. Ainsi, en parallèle des fermes verticales, l’on verrait se multiplier des zones agricoles protégées (ZAP) menant une “agriculture intensive à forte technologie et avec un impact environnemental maîtrisé”, qui “approvisionneraient les urbains en produits frais et en plantes ne pouvant pousser à l’air libre ou dans un substrat.” Mais quoi qu’il en soit, la ville verte, composée de tours végétales et de fermes verticales ou au sol semble bel et bien en marche. “Comment nous nourrirons-nous en 2050 ? L’Agriculture urbaine ne pourra fonctionner qu’en complémentarité avec celle des campagnes. Mais si je pense qu’actuellement, la production locale urbaine est anecdotique, je suis persuadé que demain, nous reviendrons à l’époque où, dans le passé, les villes nourrissaient les urbains”, conclut Jean-Philippe Vermette.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞

1 year ago | 1

@shaddouida3447

Goualy Cyrille YOKROGUHE La lutte contre la corruption en Côte d'Ivoire: Une proposition de loi portant prévention et lutte contre les formes de corruption active, passive et protégée Aperçu du livre En Côte d’Ivoire, l’on peut constater une forte persistance de la corruption dans la gestion des affaires publiques, en dépit de plusieurs actions posées par l’État en vue de lutter efficacement contre ce phénomène social. Pour comprendre ce paradoxe, une analyse de la législation en vigueur, en matière de lutte contre la corruption en Côte d’Ivoire a été faite. Elle a permis de relever dix (10) faiblesses sociologiques majeures qui font qu’elle renforce la capacité de résistance de la corruption au lieu de l’affaiblir considérablement. Dès lors, dans l’objectif d’accroître le niveau d’efficacité de la lutte contre la corruption en Côte d’Ivoire, l’auteur a préalablement mis en relief ces dix (10) faiblesses sociologiques. Sur la base de ces données, il a fait une proposition de loi portant prévention et lutte contre les formes de corruption active, passive et protégée. Cette proposition de loi est suivie d’un test qui l’opérationnalise, à l’effet de mesurer son efficacité sur le comportement de l’acteur relativement à la capacité de celui-ci :-à faire une offre de corruption ;-à accepter une offre de corruption ;-et à garder le silence sur un acte de corruption qui l'implique.

3 months ago | 1

@shaddouida3447

En Europe, Copenhague est à la pointe des projets de “ville verte intelligente”. Ambitionnant de devenir la première ville au monde neutre en carbone d’ici à 2025, elle ne se contente pas de multiplier les éoliennes et les pistes cyclables. Elle dissémine aussi des milliers de capteurs dans son mobilier urbain. Des “poubelles connectées” permettant de mieux gérer les déchets, jusqu’aux feux rouges mesurant la qualité de l’air, afin de mieux adapter la circulation (notamment lors de pics de pollution). Mais ce qui ressemble le plus à la ville du futur “intelligente et verte” se trouve en Asie, à Singapour. Cette petite île où se massent 6 millions d’habitants a installé des centaines d’arbres artificiels, hauts de 18 à 50 mètres. Ils sont équipés de modérateurs de température, éclairent les rues grâce à l’énergie solaire, et collectent l’eau de pluie pour alimenter les fontaines et des “fermes urbaines”. Des villes végétales Mais les nouvelles technologies ne seront jamais aussi fortes que la nature pour rendre une ville réellement verte. La concentration exponentielle d’individus dans les “mégapoles” du futur amènera celles-ci à remodeler leurs paysages urbains, en laissant davantage de place à la nature. “Aujourd’hui, à Paris, plus de 50 % de l’espace public est dédié aux voitures, à la circulation, aux parkings ; ce qui veut dire que l’on dispose d’un potentiel phénoménal de végétalisation. Pas du végétal décoratif, mais du végétal massif. Des arbres et de la végétation, des corridors verts, des espaces naturels dans la ville qui auraient un impact positif sur la biodiversité, la qualité de l’air et la régulation des températures”, observe Sylvain Grisot. Les villes occidentales, de Lyon à Copenhague, commencent peu à peu à se “végétaliser”, afin d’éviter à ceux qui y vivront (d’ici à 2050) d’y suffoquer. Mais en raison d’un manque de foncier disponible, la création de grands parcs urbains n’est bien souvent pas à l’ordre du jour. Ainsi, les villes transforment-elles surtout les emplacements disponibles, notamment les friches industrielles, en jardins partagés et en “coulées vertes”. Face au réchauffement climatique, la végétation fournit aussi de l’ombre, absorbe le CO2 et refroidit l’air. C’est pourquoi, en Amérique du nord, les villes d’Austin, Seattle et Montréal tentent de planter des centaines de milliers d’arbres d’ici 2030. En France, Paris prévoit d’en faire sortir de terre 170 000 d’ici 2027, à la place des parkings et des voies sur berge. En Italie, Milan va plus loin, avec un programme de plantation de 3 millions d’arbres d’ici 2030. Mais plusieurs experts ne cachent pas leur scepticisme face aux “forêts urbaines”. “Sur une étude à la Défense, on avait calculé que les 70 premières années de vie des arbres serviraient à absorber le CO2 émis par le renforcement des infrastructures. Avec ces projets, on est plutôt dans un symbolisme de l’écologie. Au niveau du climat, ça ne fonctionne pas réellement”, explique Philippe Rahm, architecte suisse, dans Le Monde. Caroline Mollie, architecte paysagiste, rappelle qu’un arbre, “pour qu’il donne son maximum d’effet, doit avoir au moins une trentaine d’années. Voilà pourquoi mieux vaut planter moins, mais mieux, au bon endroit”. A Melbourne, par exemple, une programme de reforestation ne prévoit “que” 3 000 pieds pour 4,5 millions d’habitants. Des forêts verticales Planter ainsi des arbres en ville reste complexe, en raison d’une forte pression du foncier et d’un manque de place. C’est pourquoi des architectes et des urbanistes conçoivent aussi des forêts “verticales”. À Milan, les deux tours résidentielles du projet “Bosco Verticale” regroupent depuis 2017 plus de 20 000 plantes et arbres, soit l’équivalent de 2 hectares de forêt répartis en façade. Ce projet de reforestation verticale a pour objectif “d’augmenter la biodiversité, de réduire l’expansion urbaine et de contribuer à la régulation du microclimat.” À Singapour, où l’espace est très limité, les plantations d’arbres sur les toits et les terrasses se multiplient depuis 5 ans. Une “architecture verte” à l’origine du surnom de la cité : la “ville-jardin”. Les hôtels Parkroyal et Oasia, notamment, disposent d’une surface végétale 5 à 10 fois plus importante que leur surface au sol. “Ce qui veut dire que dans la ville de demain, la nature pourrait être 10 fois plus présente que si la ville n’existait pas”, estime l’architecte Wong Mun Summ. Reste le risque de voir naître une nouvelle forme d’inégalités, liées au cadre de vie plus agréable procuré par les tours végétalisées. À Milan, les gratte-ciel boisés de Bosco verticale sont surtout peuplés de personnes fortunées. Le complexe compte 131 appartements, dont le prix varie de 10 000 à 18 000 euros le mètre carré. En Corée du Sud, Songdo n’attire aussi que des familles aisées. Car cette “smart city verte” suit une logique immobilière, qui repose sur des partenariats public-privé, et donc le besoin d’attirer des populations CSP + pour être rentables. C’est sans doute pour éviter cela que les urbanistes de Singapour privilégient de plus en plus des projets d’immeubles végétalisés destinés à toutes les catégories sociales, avec un part importante de HLM.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏭🏬🏫🏪🏩🏨🏦💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌳🌲🪴🌱⚘️🌷🌼🌻🌴🌵🍀🌿🍃🦋🐌🐚🦑🦐🦞🦀🐙🦈🐡🐠🐟🦭🐬🐋🐳🦖🦕🐉🐲🐍🦎🐢🐊

1 year ago | 1

@shaddouida3447

Monica Ndaya Lutte contre la corruption en République Démocratique du Congo: Les limites d’une coalition CACH-FCC Aperçu du livre Dans un pays où la corruption a pris de l’ampleur dans tous les domaines, cet ouvrage essaie, à travers le cas de l’étude de la coalition CACH-FCC, à démontrer les limites qu’a le gouvernement congolais à lutter efficacement contre la corruption sans se faire rattraper par les promesses et couvertures liées aux différentes coalitions. Dans cet ouvrage, il s’agira des limites liées à la coalition CACH-FCC.

3 months ago | 1

@shaddouida3447

Des villes autosuffisantes Certaines villes vont plus loin que la végétalisation, et construisent des “fermes verticales” ; destinées à capter le CO2, mais aussi à alimenter les citadins, tout en réduisant le coût énergétique du transport des denrées. “Aujourd’hui, la capacité des villes à nourrir leurs habitants est faible. Pourtant, c’est dans les centres urbains que les consommations sont les plus importantes. Mais il est parfaitement possible de nourrir tous les habitants de New-York ou de Paris en cultivant à l’intérieur de la ville, dans un rayon de 150 km”, indique Mitchell Joachim, éco-architecte américain. Selon lui, l’agriculture urbaine à étages permettra demain aux mégapoles de réduire le gaspillage alimentaire et de nourrir des dizaines de millions d’habitants. Jusqu’à l’auto-suffisance. Pour le microbiologiste Dickson Despommier, les fermes verticales sont la solution au manque de place dans les villes. Depuis 10 ans, l’agriculture urbaine se développe dans les friches industrielles et les jardins partagés, mais selon lui, la superficie totale de ces parcelles ne sera jamais suffisante pour couvrir les besoins alimentaires des citadins de 2050. Pour le théoricien de l’agriculture urbaine verticale, la production d’aliments “hors sol” permettrait de réduire la consommation d’énergies fossiles et leurs émissions de CO2, tout en diminuant de 70 % l’eau utilisée. Notamment via la culture en hydroponie, qui consiste à immerger les racines dans une solution à base d’eau et de nutriments. Selon lui, un bâtiment de 30 étages peut produire l’équivalent de 970 hectares et alimenter 50 000 personnes. Des centaines de fermes verticales ont vu le jour depuis 2012, partout dans le monde. Les exemples les plus aboutis se trouvent en Asie. C’est à Singapour que les toutes premières “tours maraîchères” sont apparues. Et pour cause : dans ce pays insulaire, le plus densément peuplé au monde, les terres agricoles sont inexistantes. L’agriculture verticale est ainsi apparue comme la solution à sa dépendance aux importations. En 2020, la cité-état compte 300 fermes verticales. Les centaines de tours construites par la société Sky Greens produisent 1 tonne de légumes verts par jour. De son côté, Wong Mun Summ mène un projet de fermes verticales destiné à faire de Singapour une ville auto-suffisante : “elles produiront de la nourriture, mais aussi de l’énergie grâce à des panneaux solaires”. L’objectif des concepteurs de fermes verticales est le même : permettre aux habitants de cultiver et consommer local, avec une empreinte carbone réduite. Ainsi, les tours ne se composent pas que de serres : les habitants peuvent cultiver leurs propres légumes, dans des potagers partagés hors sol. On retrouve ce genre de fermes verticales privées/publiques à Singapour, mais aussi à Tokyo, Paris, Montréal, Chicago, ou encore Atlanta… où le maire perçoit l’agriculture urbaine comme un “futur marché” porteur. Car si elles ne sont pas encore très rentables pour l’instant, de nombreuses fermes verticales sont appelées à faire partie des “smart cities” en développement, avec l’idée d’optimiser la production agricole, et donc de gagner de l’argent. Dans la banlieue de New-York, à New Ark, AeroFarms a créé en 2016 une ferme verticale “aéroponique” de 6 500 m2, dont l’objectif est de produire 1 000 tonnes de choux et de salade par an. Elle utilise pour cela des milliers de capteurs et des algorithmes pour savoir en temps réel si une plante a besoin ou non d’être alimentée en nutriments. Même l’éclairage est réglé pour apporter la longueur d’ondes optimale pour la croissance des légumes. Ces projets d’agriculture urbaine, verticaux ou non, permettent de “réhabiliter des quartiers, de revitaliser des zones défavorisées ou laissées à l’abandon, de mettre à profit des surfaces inutilisées”, observe le cabinet PwC. Mais le concept des fermes urbaines a aussi pour objectif de créer, dans les prochaines décennies, des “villes résilientes ». Capables demain de résister à une grande diversité de menaces, des catastrophes climatiques aux pandémies, selon la FAO. À noter que les projets de villes “auto-suffisantes” concernent aussi l’énergie. Ainsi, les fermes verticales contribueront également, pour la plupart, à en produire grâce à des panneaux solaires. Mais des villes comme Chicago et New-York vont plus loin et développent en parallèle des réseaux d’électricité “intelligents”, alimentés par les habitants eux-mêmes, grâce à la blockchain. Barcelone, de son côté, a créé sa propre compagnie d’électricité. Mais à terme, les projets visant à parvenir à l’auto-suffisance, en tout cas alimentaire, risquent selon certains de se retrouver face à un mur. “L’agriculture urbaine ne pourra jamais entièrement nourrir les villes. L’hydroponie est intéressante, mais elle est surtout utile là où la terre fait défaut, comme à Singapour. En Europe, l’auto-suffisance n’est pas un sujet : la ville n’a jamais été conçue comme un isolat, sans lien avec l’extérieur. Elle est, par nature, étroitement liée aux campagnes. Pour produire beaucoup, mieux vaut le faire dans le sol, donc pas dans les villes. Les fermes verticales peuvent avoir des fonctions productives, mais penser que l’on sera autonomes grâce à cela, c’est une utopie”, tranche Sylvain Grisot. Directeur intervention et politiques publiques au Laboratoire sur l’agriculture urbaine de Dunham, au Québec, Jean-Philippe Vermette souligne les limites de l’agriculture urbaine : “les fermes verticales produisent essentiellement des légumes verts, et ne représentent que 1 % de l’alimentation des citadins, qui consomment surtout des céréales, de la viande et des féculents… On serait loin de l’autosuffisance avec la seule agriculture verticale. Du moins tant que les gens ne mangeront pas autrement.” Si l’agriculture urbaine “répond aux attentes des consommateurs plus soucieux de la provenance et de la manière dont est produite leur alimentation, certains défis freinent encore son développement. Cette agriculture alternative a besoin d’être mieux soutenue, et cela passe par un plus grand investissement de nos gouvernements pour réduire l’écart des prix entre les produits issus d’une agriculture industrielle et ceux d’une agriculture raisonnée, qui restent encore chers”, ajoute-t-il. Pour Christine Aubry, ingénieure à l’Inra, les fermes verticales devront, demain, être utilisées pour répondre à des besoins précis, selon les pays. “À Singapour, c’est le gain de place. Mais en France, où l’on n’est pas en situation de pénurie, elles auront d’autres fonctions : créer du lien social, favoriser la biodiversité, stocker du carbone”.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞

1 year ago | 1

@shaddouida3447

Collectif Lutte contre la corruption internationale Aperçu du livre Titre: Lutte contre la corruption internationale Theme1: Droit - Droit international et étranger - Droit étranger Theme2: Résumé: Cet ouvrage reproduit les exposés présentés lors d'un colloque consacré à la lutte contre la corruption, qui continue à se heurter à des obstacles importants, nonobstant les efforts entrepris. Paul H. Dembinski met en évidence le lien entre la corruption et le processus contemporain de dégénérescence de l'ordre social basé sur les notions de devoir et de conscience. Ursula Cassani examine le droit pénal international et suisse en matière de corruption, en mettant en exergue les lacunes qui contribuent à la faiblesse de la répression. Les risques extrapénaux liés à la corruption et aux relations avec des personnes politiquement exposées pour les intermédiaires financiers sont analysés par Anne Héritier Lachat. Les initiatives prises au sein de l'Union européenne, quant à elles, sont décrites par Valsamis Mitsilegas, qui met en exergue le caractère diffus et fragmentaire de la lutte contre la corruption. Les difficultés et limites de l'entraide internationale en matière pénale, ainsi que les risques sous l'angle des atteintes aux libertés individuelles, font l'objet de l'analyse proposée par Maurice Harari, tandis que Mark Pieth tire les leçons des travaux de la commission d'enquête internationale " Oil for Food ". Bernard Bertossa présente la nouvelle loi suisse sur la restitution des avoirs illicites, pour en mettre en évidence les contradictions et limitations. Enfin, Christine Chappuis explore la portée actuelle et l'extension possible du recours aux instruments relevant du droit privé.

3 months ago | 1

@shaddouida3447

Derrière l’utopie, la ville verte du futur est-elle possible ? En 2050, nous serons 6 milliards à vivre dans les villes. Comment pourront-elles tous nous nourrir, et éviter que la pollution ne rende l’air irrespirable ? Urbanistes et architectes planchent sur des projets destinés à créer demain des villes durables, voire autosuffisantes. Et leurs projets ne sont pas forcément utopiques. Beaucoup d’œuvres de science-fiction oublient une donnée quand elles imaginent le futur des villes : la nature. Mais depuis une quinzaine d’années, urbanistes, architectes et experts en environnement urbain dessinent les contours d’un tout autre type de cités. Des métropoles “végétales”, durables, et même autosuffisantes. Certains architectes, notamment en France et à Singapour, esquissent des concepts futuristes et un brin utopiques. Vincent Callebaut, architecte belge installé à Paris, imagine des villes où les immeubles seraient couverts d’arbres, de potagers, de panneaux solaires et d’éoliennes, formant des “villages verticaux”. Consulté par la Mairie de Paris pour imaginer le Paris de 2050, il a réalisé des prototypes de gratte-ciel “verts” et à “énergie positive”. Dans son scénario, la capitale se transformerait en une véritable cité végétale. Parmi les idées de son projet, baptisé “Paris Smart City 2050” : des tours maraîchères aux balcons potagers, des ponts habités enjambant la Seine, un corridor écologique de 23 kilomètres ponctué d’immenses immeubles photo-catalytiques “dépolluants” en forme de tubes ou d’alcôves, et de gigantesques fermes verticales. Une vision que l’on pourrait facilement estampiller comme de la science-fiction. Et pourtant, ce genre de projets, comme l’assure d’ailleurs l’architecte, ont tous été imaginés à partir de technologies déjà existantes, ou en cours d’étude dans les laboratoires. En outre, des projets urbanistiques de ce type ont réellement été lancés, avec des réalisations concrètes, qui permettent de toucher du doigt un futur possible pour les villes. Des villes de plus en plus denses Pour comprendre d’où viennent de telles idées que l’on pourrait considérer de prime abord comme fantaisistes mais qui semblent pourtant en passe d’être appliquées à grande échelle, il faut d’abord expliquer les enjeux vitaux qui se poseront bientôt à nos villes. Une hausse des températures et des catastrophes naturelles appelées à être de plus en plus fréquentes à cause du dérèglement climatique. Une pollution problématique de l’air et de l’eau, causée par les émissions de CO2 (produites à 80 % par les villes). Et une explosion démographique qui risque de tout aggraver. Selon l’ONU, la population mondiale devrait atteindre les 9,7 milliards d’habitants en 2050. Parmi eux, 75 % vivront dans les villes. Certes, l’urbanisation galopante devrait surtout se concentrer dans des pays en développement, comme l’Inde, la Chine et le Nigéria. Mais les villes occidentales, elles non plus, n’échapperont pas à la surpopulation. En France, selon l’Ined et l’Insee, nous serons entre 68 et 74 millions en 2050. Une augmentation de la population relativement contrôlée. Avec de plus en plus de citadins choisissant d’habiter à la campagne, prédit l’Inrae. Mais la part de la population urbaine en France devrait malgré tout continuer d’augmenter et passer de 80 à 90 %. Comme l’explique Mathieu Favriau, urbaniste et environnementaliste au cabinet Urban Hymns, les pouvoirs publics ont pour objectif de lutter contre l’artificialisation des sols et l’étalement urbain. “La solution : exploiter toutes les ressources foncières des villes. Donc tendre vers une densification urbaine importante”, indique-t-il. Des villes sans voitures La densification devrait d’abord les pousser à trouver des solutions pour contenir, puis baisser leur empreinte environnementale. Pour cela, de nombreuses métropoles, de Paris à Montréal, en passant par Oslo, Dubaï, Séoul et Madrid, tentent déjà de réduire le nombre de voitures, voire de les faire disparaître totalement des rues. Les rues se piétonnisent, les pistes cyclables se multiplient. Des villes sorties de terre, comme Chengdu en Chine et Masdar aux Émirats Arabes Unis, ont même été conçues dès le départ pour être entièrement dépourvue de voitures. Leurs plans directeurs prévoient que toutes les rues puissent être praticables à pied ou à vélo. Selon Chris Drew, du cabinet d’architectes SmithGill, les voitures seront, à terme, inutiles dans les “villes nouvelles” du futur : “les enfants pourront aller à l’école à pied et la population se trouvera à proximité de son lieu de travail.” Face à l’épuisement de leurs ressources naturelles, les villes tenteront aussi de se passer des énergies fossiles, en privilégiant les énergies renouvelables. Plusieurs, comme Strasbourg, se sont déjà engagées à devenir “carboneutres” d’ici 2030. Sylvain Grisot, urbaniste et président de l’agence d’innovation urbaine Dixit.net, est l’auteur d’un “Manifeste pour un urbanisme circulaire”. À la recherche “d’alternatives à l’étalement des villes”, il défend l’idée selon laquelle celles-ci n’auront d’autre choix que de se “recycler”. En “optimisant” ce qui a déjà été bâti et en réinvestissant les espaces libres, notamment ceux libérés par la disparition des voitures. Des “villes vertes intelligentes” Au pire, si l’on se base sur ce que prévoient les nombreux projets de “villes intelligentes” en cours de par le monde, les voitures qui continueront à circuler seront autonomes et électriques. D’ici 2050, les chercheurs prédisent la transformation de nombreuses villes en “smart cities”, où tout serait connecté, avec des systèmes d’IA et des réseaux de capteurs permettant une adaptation en temps réel des éclairages publics, des flottes de taxis autonomes et des feux de signalisation.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏭🏬🏫🏪🏩🏨🏦💒⛲️⛰️🏔

1 year ago | 1

@shaddouida3447

Lina Megahed et 1 de plus La lutte contre la corruption dans les pays arabes (Tome 190) Détails du livre La corruption est un mal dont souffrent la plupart des pays arabes. D'où le choix de consacrer à ce thème la 6e conférence des juristes arabes francophones organisée par l'Institut d'études sur le droit et la justice dans les pays arabes le 28 novembre 2022. Cet ouvrage représente les actes de cette conférence, son objectif est d'examiner l'état des lieux de la lutte contre la corruption dans les pays arabes. Cet examen a été confronté à la situation de deux pays non arabes, plus performants dans la lutte contre la corruption : la France et la Suède. Afin de pouvoir dresser un bilan complet, l'ouvrage aborde les notions essentielles de la corruption : sa définition, la prescription de l'infraction, ses conséquences, ses différentes formes, etc. Il évoque également un thème habituellement peu traité, celui des risques de corruption dans le domaine de l'arbitrage.

3 months ago | 1

@KévinMINSI-q1v

Jésus t'aime

4 months ago | 0

@shaddouida3447

Séverine Tessier Lutter contre la corruption: A la conquête d'un nouveau pouvoir citoyen (SOCIETE) Détails du livre En 2011, lassociation anti-corruption, Anticor, créée par Séverine Tessier, se porte partie civile dans laffaire des emplois fictifs de la mairie de Paris. Jacques Chirac est condamné pour détournement de fonds publics. Pour la première fois une peine de prison avec sursis est prononcée à lencontre dun président de la République ! Afin de faire entendre la voix citoyenne, Anticor et ses membres multiplient les actions : dépôts de plainte, création de chartes anti cumul des mandats, remise de prix éthiques, campagnes de soutien aux lanceurs dalerte, etc. Autant de dispositifs pour dénoncer la corruption et réhabiliter lhonnêteté en politique. Dans Lutter contre la corruption, Séverine Tessier démonte les tenants et aboutissants de la corruption en France. Puis, elle propose, grâce à des exemples précis, des solutions et des méthodes concrètes pour combattre la corruption, ce fléau grandissant de la société française. Un manifeste clair, stimulant et concret qui permet aux citoyens de retrouver leur place dans la société et de conquérir un nouveau pouvoir.

3 months ago | 1