BLAST, Le souffle de l'info

RETROUVEZ PACOME THIELLEMENT ET BLAST AU CINÉMA

Blast et le cinéma L’Archipel vous convient à un marathon exceptionnel de la série "L’Empire n’a jamais pris fin" de Pacôme Thiellement, le samedi 29 juin, à partir de 11h.

Billetterie ➡️ bit.ly/3XosK9V

Les six premiers épisodes de la série seront projetés, suivis de l'avant-première du septième et dernier épisode de la saison « Jeanne d’Arc la gauchiste ». La journée inclura également des échanges avec Pacôme Thiellement et l'équipe.

10 months ago (edited) | [YT] | 1,456



@Béa-x4z

Déçue de ne pas être à Paris. Sinon un grand merci pour votre version de l'histoire qui me passionne surtout l'épisode des cathares qui m'a donné envie d'aller marcher sur le sentier des cathares. J'y vais en octobre j'ai hâte. Je vais en parler à tous les gens que je connais sur Paris. J'espère que nous n'attendrons pas trop longtemps la saison 2 😉. Encore un grand merci pour votre travai

10 months ago | 25  

@sarg_eras

J'ai beaucoup aimé cette série, qui fait écho à des questions que je me pose depuis des années (lorsque j'avais appris l'histoire des cathares en histoire à l'école) sur le fonctionnement de la religion chrétienne, et typiquement sur les contradictions manifestes entre les paroles de paix et d'amour de Jésus et les actes de guerre et de discrimination de ceux qui disent le suivre, depuis les couloirs de la Papauté jusqu'aux églises de campagne, sur les presque 2000 ans qui nous séparent de la mort d'un gauchiste mi-hippie mi-révolutionnaire que des gens ont établi en Messie.

10 months ago | 0

@Djid-ane

Superbe série, pour tout ceux qui aiment se questionner sur le fond des choses, et qui ont toujours trouvé que le roman national, de toute façon, est sujet à interprétation : c'est probablement l'œuvre médiatique la plus stimulante. Je suis un boulimique d'infos, de connaissances, et c'est la plus grosse claque existentielle que j'ai eu ces dernières années... Merci encore à Pacôme Thiellement et a Blast pour ce programme d'extrême qualité, je ne serais pas en France à la date de la projection et c'est fort dommage, mais je n'en peux plus d'attendre la suite !

10 months ago | 0

@vincentchanoine3420

Ttjs l'empire, pour le pire!!!!!!! ❤️✌️

10 months ago | 2

@Inconnu-z8w

Vu le titre du prochain, certains vont faire une attaque 😂

10 months ago | 11

@Allan-bj8kt

Si déçu de ne pas être parisien, et que le programme se termine ! En espérant revoir Pacôme dans un nouveau concept sur blast <3 !!!

10 months ago | 11

@shaddouida3447

Des villes autosuffisantes Certaines villes vont plus loin que la végétalisation, et construisent des “fermes verticales” ; destinées à capter le CO2, mais aussi à alimenter les citadins, tout en réduisant le coût énergétique du transport des denrées. “Aujourd’hui, la capacité des villes à nourrir leurs habitants est faible. Pourtant, c’est dans les centres urbains que les consommations sont les plus importantes. Mais il est parfaitement possible de nourrir tous les habitants de New-York ou de Paris en cultivant à l’intérieur de la ville, dans un rayon de 150 km”, indique Mitchell Joachim, éco-architecte américain. Selon lui, l’agriculture urbaine à étages permettra demain aux mégapoles de réduire le gaspillage alimentaire et de nourrir des dizaines de millions d’habitants. Jusqu’à l’auto-suffisance. Pour le microbiologiste Dickson Despommier, les fermes verticales sont la solution au manque de place dans les villes. Depuis 10 ans, l’agriculture urbaine se développe dans les friches industrielles et les jardins partagés, mais selon lui, la superficie totale de ces parcelles ne sera jamais suffisante pour couvrir les besoins alimentaires des citadins de 2050. Pour le théoricien de l’agriculture urbaine verticale, la production d’aliments “hors sol” permettrait de réduire la consommation d’énergies fossiles et leurs émissions de CO2, tout en diminuant de 70 % l’eau utilisée. Notamment via la culture en hydroponie, qui consiste à immerger les racines dans une solution à base d’eau et de nutriments. Selon lui, un bâtiment de 30 étages peut produire l’équivalent de 970 hectares et alimenter 50 000 personnes. Des centaines de fermes verticales ont vu le jour depuis 2012, partout dans le monde. Les exemples les plus aboutis se trouvent en Asie. C’est à Singapour que les toutes premières “tours maraîchères” sont apparues. Et pour cause : dans ce pays insulaire, le plus densément peuplé au monde, les terres agricoles sont inexistantes. L’agriculture verticale est ainsi apparue comme la solution à sa dépendance aux importations. En 2020, la cité-état compte 300 fermes verticales. Les centaines de tours construites par la société Sky Greens produisent 1 tonne de légumes verts par jour. De son côté, Wong Mun Summ mène un projet de fermes verticales destiné à faire de Singapour une ville auto-suffisante : “elles produiront de la nourriture, mais aussi de l’énergie grâce à des panneaux solaires”. L’objectif des concepteurs de fermes verticales est le même : permettre aux habitants de cultiver et consommer local, avec une empreinte carbone réduite. Ainsi, les tours ne se composent pas que de serres : les habitants peuvent cultiver leurs propres légumes, dans des potagers partagés hors sol. On retrouve ce genre de fermes verticales privées/publiques à Singapour, mais aussi à Tokyo, Paris, Montréal, Chicago, ou encore Atlanta… où le maire perçoit l’agriculture urbaine comme un “futur marché” porteur. Car si elles ne sont pas encore très rentables pour l’instant, de nombreuses fermes verticales sont appelées à faire partie des “smart cities” en développement, avec l’idée d’optimiser la production agricole, et donc de gagner de l’argent. Dans la banlieue de New-York, à New Ark, AeroFarms a créé en 2016 une ferme verticale “aéroponique” de 6 500 m2, dont l’objectif est de produire 1 000 tonnes de choux et de salade par an. Elle utilise pour cela des milliers de capteurs et des algorithmes pour savoir en temps réel si une plante a besoin ou non d’être alimentée en nutriments. Même l’éclairage est réglé pour apporter la longueur d’ondes optimale pour la croissance des légumes. Ces projets d’agriculture urbaine, verticaux ou non, permettent de “réhabiliter des quartiers, de revitaliser des zones défavorisées ou laissées à l’abandon, de mettre à profit des surfaces inutilisées”, observe le cabinet PwC. Mais le concept des fermes urbaines a aussi pour objectif de créer, dans les prochaines décennies, des “villes résilientes ». Capables demain de résister à une grande diversité de menaces, des catastrophes climatiques aux pandémies, selon la FAO. À noter que les projets de villes “auto-suffisantes” concernent aussi l’énergie. Ainsi, les fermes verticales contribueront également, pour la plupart, à en produire grâce à des panneaux solaires. Mais des villes comme Chicago et New-York vont plus loin et développent en parallèle des réseaux d’électricité “intelligents”, alimentés par les habitants eux-mêmes, grâce à la blockchain. Barcelone, de son côté, a créé sa propre compagnie d’électricité. Mais à terme, les projets visant à parvenir à l’auto-suffisance, en tout cas alimentaire, risquent selon certains de se retrouver face à un mur. “L’agriculture urbaine ne pourra jamais entièrement nourrir les villes. L’hydroponie est intéressante, mais elle est surtout utile là où la terre fait défaut, comme à Singapour. En Europe, l’auto-suffisance n’est pas un sujet : la ville n’a jamais été conçue comme un isolat, sans lien avec l’extérieur. Elle est, par nature, étroitement liée aux campagnes. Pour produire beaucoup, mieux vaut le faire dans le sol, donc pas dans les villes. Les fermes verticales peuvent avoir des fonctions productives, mais penser que l’on sera autonomes grâce à cela, c’est une utopie”, tranche Sylvain Grisot. Directeur intervention et politiques publiques au Laboratoire sur l’agriculture urbaine de Dunham, au Québec, Jean-Philippe Vermette souligne les limites de l’agriculture urbaine : “les fermes verticales produisent essentiellement des légumes verts, et ne représentent que 1 % de l’alimentation des citadins, qui consomment surtout des céréales, de la viande et des féculents… On serait loin de l’autosuffisance avec la seule agriculture verticale. Du moins tant que les gens ne mangeront pas autrement.” Si l’agriculture urbaine “répond aux attentes des consommateurs plus soucieux de la provenance et de la manière dont est produite leur alimentation, certains défis freinent encore son développement. Cette agriculture alternative a besoin d’être mieux soutenue, et cela passe par un plus grand investissement de nos gouvernements pour réduire l’écart des prix entre les produits issus d’une agriculture industrielle et ceux d’une agriculture raisonnée, qui restent encore chers”, ajoute-t-il. Pour Christine Aubry, ingénieure à l’Inra, les fermes verticales devront, demain, être utilisées pour répondre à des besoins précis, selon les pays. “À Singapour, c’est le gain de place. Mais en France, où l’on n’est pas en situation de pénurie, elles auront d’autres fonctions : créer du lien social, favoriser la biodiversité, stocker du carbone”.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞

10 months ago | 5

@falafelito2207

Oh la folie du bus au dernier niveaux 7h à parler de l'histoire perdue et oublié juste avant un échange avec le plus beau des fous quelle dinguerie

10 months ago | 1

@juanka0111

trop dommage que c est deja fini, pacome y nous causait bien !

10 months ago | 9

@rbaixdahmani9806

" Nous avons la parole pour mentir " , dixit Gilles-William Goldnadel . Dieu créa le verbe et Satan le tordit à sa guise . Il faut faire croître la vérité , la conscience en dépend . On croît en elle , qu'on ÿ croie ou pas . "La victoire , c'est la capacité à rendre une réalité politique meilleure" Carl von Clausewitz . Celle de Six jours n'a toujours pas sa victoire après 20 735 jours , assise sur Coran 48:28 cher à Hitler et Arafat . Ca fait long le septième jour , un dimanche , Comme Par Hasard ! Guy Béart était à la bonne page avec sa chanson " La vérité " ( juin 1967 )

10 months ago | 0

@shaddouida3447

La ville verte passera aussi par la terre En outre, des obstacles à la généralisation des fermes verticales subsistent. Aucune étude n’a encore été réalisée pour démontrer qu’elles sont plus rentables que les cultures conventionnelles. “Mais elles produisent aujourd’hui en trop petites quantités pour être compétitives”, constate André Torre, directeur de recherche à l’Inra AgroParisTech, dans Géo. Le coût des fermes verticales pourrait aussi se révéler prohibitif, à cause du prix très élevé du foncier, notamment à Paris ou New York. Et si construire du neuf coûte cher, il en est de même pour la transformation d’immeubles en fermes urbaines. “Le coût de mise en place d’une ferme verticale est élevé, et la technologie associée complexe. De plus, tous les végétaux ne peuvent être cultivés ainsi : exit les légumes trop encombrants ou au cycle trop long, qui ne seront pas rentables”, note PwC. Dans son étude sur les fermes verticales, le cabinet PwC indique que “l’agriculture urbaine peut venir combler les manques de l’agriculture traditionnelle”, mais que cette dernière “demeurera capitale”. Notamment parce que “les terres agricoles rendent bien des services écologiques et écosystémiques : drainage des eaux pluviales, maintien de la biodiversité, etc.” “Soyons honnêtes, cette juxtaposition de tours écologiquement remarquables et responsables ne transformera jamais Paris en une ville durable. C’est sans doute un petit peu plus bas qu’il faut d’abord regarder. Paris manque de verdure, c’est un fait, c’est une ville extrêmement concentrée, mais avant de se tourner vers le ciel, il s’agirait bien d’en renforcer durablement les racines”, écrit de son côté Édouard Malsch, urbaniste-géographe et cofondateur du site UrbaNews. Selon lui, attention à ne pas tomber dans le “greenwashing”. De nombreux experts en sont donc convaincus, en 2050, l’agriculture urbaine restera un complément de l’agriculture traditionnelle. Et les villes, loin d’être coupées de l’extérieur, seront plus que jamais liées aux campagnes. L’Inrae, qui a publié en 2018 une étude prospective sur l’avenir des villes et de la ruralité, imagine le scénario des “campagnes au service de la densification urbaine”, dans lequel les espaces ruraux à la périphérie des métropoles seraient “pour partie intégrés aux villes”, et où “ce qui est en dehors” deviendrait “une mosaïque de sites hyperspécialisés dans des fonctions logistiques, énergétiques ou écologiques au service des villes”. Ainsi, en parallèle des fermes verticales, l’on verrait se multiplier des zones agricoles protégées (ZAP) menant une “agriculture intensive à forte technologie et avec un impact environnemental maîtrisé”, qui “approvisionneraient les urbains en produits frais et en plantes ne pouvant pousser à l’air libre ou dans un substrat.” Mais quoi qu’il en soit, la ville verte, composée de tours végétales et de fermes verticales ou au sol semble bel et bien en marche. “Comment nous nourrirons-nous en 2050 ? L’Agriculture urbaine ne pourra fonctionner qu’en complémentarité avec celle des campagnes. Mais si je pense qu’actuellement, la production locale urbaine est anecdotique, je suis persuadé que demain, nous reviendrons à l’époque où, dans le passé, les villes nourrissaient les urbains”, conclut Jean-Philippe Vermette.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞

10 months ago | 1

@claire-valerie-drac

Extraordinaire Pâcome Thiellement 🥰🥰

10 months ago | 0

@Caola_

Ça fait une sacrée séance de plusieurs heures, prévoyez des pauses pour les yeux

10 months ago | 0

@johannasegard737

Noooon pas le dernier!!! On veut une 2eme Saison!!

10 months ago | 3

@hocineamri8252

Dites @blastinfo c'est quand la sortie Youtube du 7e épisode et quand y aura une 2e saison?

10 months ago (edited) | 2

@sophiesoso2129

Je l’aime d’Amour 💖🙏

10 months ago | 1

@rogsegalav

Je n'ai vu que les 4 premiers. Série exceptionnelle.

10 months ago | 0

@AinhoaElosegui

Profitez-en les parisiens!

10 months ago | 0  

@2005Fanfan

Première fois que je suis déçu de pas vivre en France

10 months ago | 0

@stephanebalcerowiak1205

« Jeanne d’Arc la gauchiste » ! Il n’a que Pacôme pour avoir l’idée d’un titre aussi génial ! Ne redescends surtout pas Pacôme, reste là-haut, dans les hautes sphères de l’intelligence, au-dessus des partis, loin, surtout, très loin de ces petits fascistes de tout bord, d’extrême-droite comme d’extrême-gauche ! Garde ta pureté Pacôme, tu vaux mieux que tous ces youtubeurs stupidement doctrinaires !

10 months ago (edited) | 0