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Monsieur Mélenchon, condoléances aux victimes, évidemment. Mais votre tweet a un souci majeur : il sonne comme une indignation à géométrie variable.

Déjà, même sur le factuel : vous annoncez “10 morts, au moins 60 blessés”. Or, les bilans diffusés aujourd’hui par des médias s’appuyant sur la police/autorités NSW parlent plutôt d’au moins 11 à 12 morts et environ 29 blessés.
Quand on prétend combattre “l’abomination”, on évite d’ajouter du brouillard au chaos.

Mais le fond, c’est surtout ça : vos mots d’aujourd’hui ne lavent pas vos ambiguïtés d’hier — et elles ne sont pas anecdotiques.

Vous et votre mouvement avez longtemps refusé de qualifier le Hamas d’organisation terroriste, au nom d’une pirouette sémantique sur le “droit international”. Même Le Monde a pointé ce refus noir sur blanc dès octobre 2023.

Votre cheffe de groupe Mathilde Panot a explicitement refusé de qualifier le Hamas d’“organisation terroriste” (en renvoyant à “la branche armée” et à des “crimes de guerre”).

Votre député Manuel Bompard a lui aussi évité la qualification d’“organisation terroriste”, préférant jouer sur “actes terroristes” / “crimes de guerre” — débat que des juristes ont précisément démonté.

Votre députée Danièle Obono a été jusqu’à parler du Hamas comme d’un “mouvement de résistance”. Ce ne sont pas des mots jetés au hasard : c’est documenté, repris, et cela a déclenché des signalements officiels.

Et votre eurodéputée Rima Hassan a déclaré que “le Hamas a une action légitime du point de vue du droit international” — formule qui, dans le monde réel, sert de vernis à l’indicible et a provoqué une large vague de réactions politiques et médiatiques.


Donc oui, vous pouvez écrire “affliction et compassion”. Mais la crédibilité, ça ne se tweete pas : ça se prouve.

Si vous voulez être audible contre l’antisémitisme, commencez par faire le ménage chez vous — clairement, sans flou artistique :

1. Nommer le Hamas pour ce qu’il est (et cesser le “oui mais” sémantique).


2. Désavouer publiquement les propos de vos élus qui ont “blanchi” par le vocabulaire (“résistance”, “action légitime”, etc.).


3. Cesser de laisser prospérer autour de vous une ambiance où l’antisémite se cache derrière un “antisionisme” qui finit trop souvent en ciblage des Juifs, ici comme ailleurs.



Sinon, votre tweet n’est pas un sursaut moral : c’est une communication de crise, posée sur une mémoire courte.

1 week ago | [YT] | 0

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2 weeks ago | [YT] | 0

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#CNEWS (et les #Médias "#Bolloré") chez les Soviets (tout au moins)...

La liberté de la presse est une condition sine qua non de toute démocratie libérale. L’idée qu’un chef de l’État puisse juger un régulateur indépendant (l’ARCOM, ex-CSA) « trop laxiste » envers un média particulier, et appeler à une fermeté accrue, pose un risque majeur de dérive autoritaire.

Le rôle du régulateur : L’ARCOM a pour mission de faire respecter les lois existantes, notamment celles concernant le pluralisme, l’honnêteté de l’information et la protection de l’enfance. Son rôle est d’être indépendant des pressions politiques. Si le pouvoir exécutif peut dicter la sévérité du régulateur envers des médias qu’il juge « problématiques », l’ARCOM perd sa neutralité et devient de facto un instrument de l’État.

La « dissidence audiovisuelle » : Qualifier un média de « dissidence audiovisuelle » dans un contexte de critique présidentielle est particulièrement troublant. Dans une démocratie, le rôle de la presse est précisément d’être un contre-pouvoir, y compris d’offrir des espaces d’expression critiques ou minoritaires. Une information qui dérange le pouvoir n’est pas nécessairement de la désinformation ; elle peut être une expression légitime du pluralisme des idées

Les Faits et le Cadre Légal : L’Indépendance de l’ARCOM

Le rappel du démenti de l’ARCOM à Reporters sans frontières (RSF) est factuellement crucial. Les décisions de l’ARCOM sont prises après examen des faits et du respect du cadre légal.

Décision factuelle : Si l’ARCOM a réfuté les accusations de RSF concernant le non-respect du pluralisme, cela signifie que, sur la base des critères et des méthodes de mesure établis, le média concerné respectait ses obligations légales. Mettre en cause cette décision, au seul motif qu’elle « agaçe » le Président, est une attaque directe contre l’indépendance institutionnelle et la rigueur du droit.

Le Pluralisme comme Fondement : Lutter contre la concentration médiatique (un sujet qui concerne tous les grands groupes) est nécessaire, mais la lutte doit être menée sur des bases légales claires, et non sur la base d’une aversion idéologique du pouvoir en place envers une ligne éditoriale spécifique.

Conclusion de cette partie : S’opposer à la censure des médias de Bolloré, ou de tout autre, n’est pas un soutien à leur ligne éditoriale, mais une défense principielle de la liberté d’expression. Le seul juge légitime du contenu médiatique doit rester le public, informé par un débat ouvert, et non un « ministère de la Vérité » étatique

La Convergence dans la Volonté de Contrôle du Discours

Le « fascisme », au sens moderne et non historique, peut se manifester par un autoritarisme insidieux qui cherche à imposer une vérité d’État ou de parti, étouffant les voix jugées nuisibles au « bien public » tel qu’il est défini par l’élite dominante.

Côté Macron : La volonté de distinguer les médias « responsables » des médias « problématiques » et de demander un régulateur plus ferme est un pas vers le crédit social de l’information. L’État tente de labelliser ce qui est « acceptable » et ce qui est de la « dissidence », instaurant un contrôle du haut vers le bas.

Côté Mélenchoniste : On observe une tendance similaire avec la logique de l’anathème. Les médias qui ne relaient pas la ligne du mouvement sont souvent qualifiés d’« ennemis du peuple », de « chiens de garde du pouvoir », ou sont accusés de « fake news » systématiques. Il y a une pression constante exercée par les leaders politiques et leurs bases militantes pour marginaliser, boycotter, voire réclamer des sanctions contre les journalistes ou les titres qui déplaisent.

Dans les deux cas, l’objectif est d’isoler et de décrédibiliser l’adversaire médiatique au lieu de le combattre par l’argumentation

Le Rôle de l’Immaturité et de la Frustration

L’adjectif « immaturité » s’applique ici au refus du désaccord structurel et de la complexité inhérente au débat démocratique.

La Frustration : Elle naît de l’incapacité à convaincre une partie de l’opinion.

Pour le pouvoir en place : la frustration de voir les récits officiels et la politique gouvernementale attaqués par des chaînes d’opinion ou des réseaux sociaux, malgré le contrôle des leviers de communication traditionnels.

Pour l’opposition radicale : la frustration de ne pas arriver au pouvoir et de percevoir l’ensemble des institutions (y compris les médias traditionnels) comme un système hostile et indépassable nécessitant d’être brisé.

L’Immaturité : Elle se manifeste par une approche binaire et simpliste du réel : « avec nous ou contre nous ». Tout média qui ne sert pas explicitement la cause (gouvernementale ou d’opposition) est considéré comme un danger qu’il faut neutraliser, au lieu d’être un acteur légitime du débat. Cette réaction est l’inverse de l’attitude démocratique, qui exige de tolérer les voix discordantes, même les plus irritantes.

En résumé : Que ce soit par l’outil étatique de régulation (Macron) ou par la pression militante et l’injure publique (Mélenchon et ses proches), la démarche est la même : tenter d’éliminer l’interlocuteur dérangeant plutôt que d’accepter le jeu rugueux de la confrontation des idées. Ce rejet mutuel et cette tentation de contrôle du discours sont des symptômes inquiétants de fragilisation démocratique, où l’adversaire est transformé en ennemi à abattre.

En tant que fervent défenseur de la liberté d’expression et du pluralisme médiatique, je m’oppose fermement à toute tentative de censure ou de régulation accrue visant les médias appartenant à Vincent Bolloré, tels que CNEWS. Cette position n'est pas motivée par une adhésion idéologique particulière, mais par un attachement inébranlable aux principes démocratiques fondamentaux, inscrits dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 et dans l’article 11 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, qui garantissent la liberté de communication des pensées et des opinions sans ingérence abusive de l’État.

Toute mesure visant à marginaliser ou à contrôler un média au motif de sa ligne éditoriale perçue comme « dissidente » constitue une dérive autoritaire incompatible avec une république libérale.

Les déclarations attribuées au président Emmanuel Macron, selon lesquelles il juge l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM) « trop timorée, trop molle » envers CNEWS et réclame une labellisation des médias pour les mettre « au pas », révèlent une irritation croissante qui frise l’ingérence politique.

Ces propos s’inscrivent dans une continuité historique : dès 2019, et plus récemment en novembre 2025, M. Macron a évoqué la nécessité de structures financées par l’État pour assurer la « neutralité » et la « vérification » de l’information, qualifiant celle-ci de « bien public » et prônant un système de vérité officielle validée par l’État, proche d’un « ministère de la Vérité » orwellien.

Or, une telle vision instrumentalise le pouvoir exécutif pour distinguer les médias « fiables » des « problématiques », instaurant de facto un crédit social de l’information où les voix alignées sur le discours dominant seraient certifiées, tandis que les dissonantes seraient reléguées au rang de propagande. Vincent Bolloré, en tant que propriétaire légitime du groupe Canal+, a le droit inaliénable d’orienter ses chaînes selon une ligne éditoriale conservatrice, tant que celle-ci respecte les obligations légales en matière de pluralisme et d’honnêteté intellectuelle – obligations que CNEWS remplit, comme l’atteste l’ARCOM elle-même.

À cet égard, les faits sont irréfutables : en novembre 2025, l’ARCOM a infligé un démenti cinglant à Reporters sans frontières (RSF), qui accusait CNEWS d’enfreindre les règles du pluralisme politique sur la base d’une enquête portant sur mars 2025.

Le régulateur a affirmé n’avoir constaté « aucun problème de respect du pluralisme » sur la chaîne, démontant point par point le réquisitoire de RSF et soulignant que les méthodes de l’ONG étaient biaisées ou incomplètes, sans « contournement des règles » avéré.

Malgré cela, RSF persiste et signe, annonçant son intention de saisir à nouveau l’ARCOM, ce qui illustre non pas une quête objective de vérité, mais une croisade idéologique contre un média perçu comme adverse.

Si l’État, via son président, reproche à l’ARCOM de ne pas « faire le job » face à CNEWS, cela équivaut à une pression inacceptable sur un organisme indépendant, censé appliquer la loi sans considération partisane. Depuis 2017, l’ARCOM a émis de nombreux rappels à l’ordre contre les chaînes d’information en continu, dont CNEWS, mais sans disproportion flagrante qui justifierait une sanction ciblée.

Vincent Bolloré n’est pas au-dessus des lois, mais il n’est pas non plus un paria à museler : ses médias contribuent au débat public en offrant une alternative aux narratifs dominants, enrichissant ainsi le paysage audiovisuel français plutôt que de le menacer.

Argumentons plus avant : la proposition de labellisation des médias, défendue par M. Macron pour lutter contre la « désinformation » et les « ingérences numériques », n’est rien d’autre qu’un outil de censure déguisé.

En confiant à l’État ou à des entités comme l’ARCOM et RSF le pouvoir de trier les « fiables » des « problématiques », on instaure un ministère de la Vérité orwellien, où la neutralité est définie par le pouvoir en place.

3 weeks ago | [YT] | 0

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#BonneNuit la commu

4 weeks ago | [YT] | 0

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Désolé de péter l'ambiance, mais....

4 months ago | [YT] | 0

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#BonneNuit à tous.

📷 Moi-même

7 months ago | [YT] | 1

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Votre dose régulière de 😂 est sur Https://T.me/W2BA_HUMOUR

7 months ago | [YT] | 0

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Partie 1 des diffusions prévues ce jour sur les #Telegram des chaînes du Groupe W2BA

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7 months ago | [YT] | 0