A_Person_With_A_Very_Low_IQ

I DONT KNOW MAN



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‪@Nahxa02‬ ‪@Gorgona3006‬

Voici la version en colère de Taiyô!

Bonus: Si elle ouvre la bouche devant toi et que tu vois des yeux à l’intérieur, tu ne pourras plus bouger pendant 5 secondes avant de t’évanouir.

1 week ago | [YT] | 9

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‪@Nahxa02‬ ‪@Gorgona3006‬

J’ai tenté de faire un autre dessin…

3 weeks ago | [YT] | 4

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‪@Nahxa02‬ ‪@Gorgona3006‬

Alors, j’ai pas fait de vidéo particulière pour Halloween — pas parce que j’avais la flemme, mais parce que je ne savais pas quoi faire. Du coup, à la place, j’ai dessiné une citrouille…

3 weeks ago | [YT] | 4

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‪@Nahxa02‬ ‪@Gorgona3006‬

L’enfance et la vie brisée de Marwa:

"Marwa avait grandi dans un foyer aimant. Ses parents, Célie et son compagnon, formaient un refuge rassurant où l’affection n’était pas seulement verbale : elle se voyait dans les gestes quotidiens, les repas partagés, les petites habitudes qui composent une enfance sans heurts. Elle rendait cet amour naturellement, douce et souriante, sans histoires.

Tout bascula un après‑midi où, adolescente, elle se rendit chez un ami de la famille, Aaron, pour faire ses devoirs et passer un moment. La soirée semblait ordinaire ; ils avaient parlé, ri. Quand elle se leva pour partir, elle fut suivie par l’ombre d’un homme qu’elle connaissait à peine : le père d’Aaron. Ce qui se produisit derrière la porte de la salle de bains fut une violence — longue, imposée, destructrice — qui marqua Marwa au plus profond d’elle‑même. Aaron, isolé par sa musique, n’entendit rien. La mère d’Aaron travaillait tard ce jour‑là. Après l’agression, l’homme la ramena jusqu’à chez elle comme si de rien n’était ; puis il la menaça, d’une voix basse et glaciale : « Si tu dis ce que je t’ai fait, je te tue, toi et tes parents. » Terrifiée, Marwa obéit et garda le silence.

À la maison, Célie sentit aussitôt que quelque chose n’allait pas. Sa fille était nerveuse, distante ; elle évitait les regards, sursautait parfois. Célie essaya d’expliquer ces signes par l’adolescence, le stress des études, mais au fil des semaines les symptômes devinrent impossibles à ignorer — nausées persistantes, fatigue écrasante, changements d’appétit et d’humeur. Lorsqu’un test confirma la grossesse, la vérité se fraya un chemin : la réalité de l’agression devint évidente. Furieuse, vigilante, Célie se rendit chez le père d’Aaron pour exiger des réponses. Malgré les supplications de Marwa, elle entra et resta seule à parler avec lui pendant une heure.

Quand Marwa revint pour vérifier l’état de sa mère, ce qu’elle trouva la projeta dans un cauchemar éveillé. La scène qu’elle découvrit était tragique et choquante ; Célie avait été attaquée avec une brutalité surnuméraire et souffrait terriblement. L’homme, d’un calme sinistre, proféra simplement une injonction : « Tu dois avorter. » Brisée, sous le poids des menaces et du traumatisme, Marwa se fit aider pour mettre fin à la grossesse. Elle ne remit jamais les pieds chez Aaron. Leur relation virtuelle se poursuivit, mécanique ; ils échangeaient des messages sans jamais évoquer l’acte qui avait tout changé.

Les blessures d’un tel événement ne disparaissent pas avec le temps. Elles se nichent dans les gestes, dans la mémoire du corps, dans la façon dont on se couche le soir. Marwa continua d’avancer du mieux qu’elle put, mais la vulnérabilité laissée par cette première trahison la rendit plus fragile face aux autres.

À vingt ans, elle crut retrouver la sécurité en rencontrant Bastien. Leur relation débuta avec l’espoir d’un amour réparateur. Une semaine après le début de leur histoire, cependant, Bastien profita d’elle pendant son sommeil ; Marwa se réveilla désorientée, blessée dans sa chair et son esprit. Les jours qui suivirent furent une succession d’émotions contradictoires, et un nouveau test de grossesse confirmait à nouveau l’annonce d’un enfant non désiré. Elle souhaita interrompre cette grossesse ; Bastien s’y opposa avec des mots mielleux et tyranniques : « Notre enfant sera adorable, comme toi. » Sa « protection » était une cage.

Lorsque l’enfant naquit, Bastien manqua l’accouchement. A son retour, il arracha le nouveau‑né des bras de Marwa et, pour asservir définitivement la mère, posa une menace intolérable sur l’enfant : il exigea qu’elle lui soit totalement soumise ou qu’elle perde son enfant. Sous la contrainte, Marwa accepta. Ce consentement, arraché par la peur, ouvrit la porte à des mois — puis des années — d’humiliations : coups répétés, critiques incessantes sur son corps et son apparence (« T’es trop grosse », « Tes cheveux sont trop longs », « On dirait une sorcière »), corvées sans fin et trahisons publiques. Bastien la trompait, parfois sous ses yeux ; il la rabaissait, la rendant invisible aux côtés de leur enfant. Privée d’un lien réel avec son bébé, isolée et épuisée, Marwa dépérissait à petit feu.

Un 6 novembre — date tombée dans l’ombre — les coups et les blessures accumulées eurent raison d’elle. Elle ne se releva pas de cette suite de violences. Sa mort laissa un vide, et pour ceux qui restaient, de la colère et des questions sans réponse."

Après la mort : choix, vengeance, rencontre:

"Lorsque les siens durent décider de la forme que prendrait l’âme de Marwa, elle surprit tout le monde en demandant à demeurer un fantôme. Ni ange ni démon : juste une présence errante, proche des vivants mais détachée du monde de la chair. On lui accorda ce choix. Libre de son enveloppe mortelle mais hantée par la colère, Marwa fixa un but unique : faire payer ceux qui lui avaient pris sa vie, ceux qui avaient détruit sa dignité.

Le père d’Aaron fut le premier qu’elle traqua. Dans un face‑à‑face nocturne, la vengeance prit forme : elle l’attaqua, le poignarda. Aaron, découvrant la scène et entendant la version de Marwa — tout ce qu’elle avait gardé pour elle — ressentit un mélange de choc et de compassion. Il la prit dans ses bras et murmura, les larmes dans la voix : « Je comprends… » C’était un aveu tardif, un geste de consolation qui ne rendait rien mais apportait au moins une reconnaissance.

Bastien fut sa deuxième cible. Devant lui, Marwa se tint pleine de froide détermination ; elle pointa une arme, prononça un mot de condamnation et tira. Le geste fut sec, définitif.

Libre de la chair, Marwa poursuivit pourtant l’existence, fragile et rugueuse à la fois. À vingt‑trois ans — âge d’un monde où le temps n’a plus la même logique — au détour d’une rue, elle rencontra Satori. Elles parlèrent, d’abord de banalités, puis de choses plus intimes. Sans qu’elle sache pourquoi, Satori lui évoqua la douceur d’un enfant : une lumière, une présence qui faisait remonter des souvenirs si douloureux qu’ils faisaient pleurer sans bruit. Satori proposa de la conduire chez Kara ; Marwa accepta, curieuse et prudente à la fois.

Parmi les nouveaux visages, on remarqua vite que Marwa avait des accès de colère : une phrase mal tournée, un geste trop brusque, et elle pouvait exploser. Pourtant, le plus étrange fut ce qui advint le jour où elle croisa un certain regard pour la première fois. Ce fut un choc : un coup de foudre silencieux, intense, un retournement intérieur qu’elle ne sut maîtriser. Les autres s’en rendirent compte et la taquinèrent gentiment. Pour ne pas se montrer vulnérable, Marwa adopta une posture : indifférence feinte, parfois froideur. Mais Luna, qui observait tout, vit clair. Elle comprit que Marwa jouait la défensive ; au lieu de pousser, elle attendit que la blessée ait assez de force pour baisser le masque."

Dans la tête de Marwa — deux voix:

"Dans son esprit, deux voix dialoguaient sans cesse — l’une rageuse et obstinée, l’autre timide et émerveillée :

Le Déni : « Non… elle n’a rien de spécial. Juste une fille ordinaire… Attends, elle est derrière moi ? Mais… dégage. »

L’Acceptation : « Mais elle est tellement belle… Oh non — elle est là, derrière moi ? Je fonds… »"

"Elles se parlaient en même temps, se contrariaient, l’une étouffant l’autre jusqu’à ce qu’un jour la vérité intime trouve enfin un chemin pour s’exprimer..."

1 month ago | [YT] | 4

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‪@Nahxa02‬ ‪@Gorgona3006‬

(Alors, cette info ne vous sera probablement pas très utile, mais je vous la donne quand même.)

Kara a une autre forme lorsqu’elle est extrêmement en colère (c’est elle sur l’image).

Pourquoi est-elle dangereuse?

1- Elle possède une faux assez grande pour être redoutable.

2- Elle peut désactiver le pouvoir de quelqu’un simplement en le regardant dans les yeux. (Ça fonctionne sur les personnes qui ont ce pouvoir naturellement, mais aussi sur celles qui l’ont acquis, par exemple en mangeant un objet ou un ingrédient particulier.)

Voilà! Faites ce que vous voulez de cette information!

1 month ago | [YT] | 4

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‪@Nahxa02‬ ‪@Gorgona3006‬

L'enfance de Cali:

"Cali n’a jamais eu de problèmes avec sa famille… du moins, pas dans le sens où la plupart des gens l’entendent. Elle est née à Fontainebleau, en Île-de-France, au sein d’une des familles les plus dangereuses et meurtrières du monde : la famille Shipman. Une famille capable d’inspirer la peur non seulement chez la police, mais même chez les criminels les plus redoutables.

Sophie, la mère (visible sur la deuxième image) avait des méthodes pour le moins… originales. Parfois, elle réalisait des pâtisseries à base de sang humain : elle le laissait coaguler, le faisait sécher au four, le broyait, puis le mélangeait avec de la farine, du sucre, du chocolat, du lait et un peu de margarine. D’autres fois, elle fabriquait du savon à partir des corps de ses victimes, ou les jetait simplement à la mer.

Dylan, le père (visible sur la dernière image, avec des fleurs sur le visage) avait une approche plus méthodique. Il attendait que ses victimes s’endorment avant de les tuer, affirmant que « ainsi, elles ne souffrent pas ».

Elliot et Vincent, les frères (Elliot sur la première image et Vincent sur la dernière, portant des lunettes sur la tête) dirigeaient une boucherie… mais pas n’importe laquelle : une boucherie pour cannibales. Étrangement, leur commerce fonctionnait très bien.

Quant à Cali, elle participait à l’entreprise familiale en ramenant de la « viande » pour la boucherie de ses frères. Elle tuait des gens, traînait les cadavres et les livrait à Elliot et Vincent.

Vous l’aurez deviné : dans cette famille, le meurtre est normal, presque coutumier. Et ils ont des traditions… très particulières.

À Halloween, ils exposent des squelettes devant leur maison… mais pas des faux : des vrais.

À Noël, ils décorent un mini-sapin avec des organes humains.

Et la police ? Elle a déjà tenté de les mettre derrière les barreaux. Mais la famille Shipman a tué tous les policiers présents dans la prison en moins d’une heure avant de s’échapper. Après cet incident, la police a compris qu’essayer de les arrêter de nouveau serait une très mauvaise idée. Depuis, ils ont simplement abandonné.

Ainsi, la famille Shipman peut se déplacer librement, sans jamais s’inquiéter.

Cali a rencontré Kara dans une forêt, alors qu’elle jouait avec un renard. Les deux filles se sont rapidement entendues, et Kara a décidé de la ramener chez elle. Cali a raconté à tout le monde ce qu’elle et sa famille faisaient… et bien que cela ait terrifié ses nouveaux amis, ils l’ont acceptée telle qu’elle était. Sa famille, de son côté, rend parfois visite à Cali : ils viennent chez Kara et restent quelques jours, parfois plusieurs semaines."

1 month ago | [YT] | 4

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Un dessin que j'ai fais, (3H06 pour le faire..)

1 month ago | [YT] | 4

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Enfance de Yori:



"Yori grandit dans une famille aimante : ses parents l’aimaient profondément, et lui-même était un garçon très gentil. Mais à l’âge de 16 ans, il devint la cible de harcèlement à l’école. Un jour, l’un de ses agresseurs alla trop loin : il l’étrangla un peu trop longtemps… et Yori en mourut.

À son arrivée dans l’au-delà, ceux qui gèrent le Paradis décidèrent unanimement de faire de lui un ange. Pourtant, à 20 ans, Yori ressentit toujours un besoin brûlant de vengeance envers ses bourreaux. Il en parla alors avec d’autres anges, qui lui confièrent qu’une seule entité pouvait l’aider. Mais tous les anges craignaient cette créature, tandis que les démons, eux, l’admiraient.

C’est ainsi que Yori découvrit qu’au-dessus même du Paradis existait un lieu interdit. Sa curiosité fut plus forte que l’interdiction, et il s’y aventura. Là, il rencontra un ange aux ailes et aux cheveux gris, qui se présenta comme False Gabriel.

False Gabriel n’était pas un ange ordinaire, mais un Alternate — une entité prenant l’apparence d’humains ou de figures religieuses dans le but de tromper, de manipuler et de plonger ses victimes dans la folie ou le désespoir. Chef apparent des Alternates, False Gabriel se présentait parfois sous l’identité de l’archange Gabriel ou même du Saint-Esprit, afin de manipuler les croyances humaines. Il était décrit comme patient, extrêmement rusé, et doté de nombreux pouvoirs : altération des médias (cassettes, transmissions, écrans), métamorphose, manipulation de la voix et des perceptions, ainsi que communication insidieuse à travers des murmures et des messages corrompus.

Yori comprit alors que c’était lui, l’unique être capable de l’aider. Il lui demanda son soutien, et False Gabriel accepta… peut-être un peu trop vite. Mais Yori n’en avait que faire : il voulait sa vengeance, à tout prix.

Lorsqu’ils descendirent ensemble sur Terre pour éliminer ses anciens harceleurs, Gabriel proposa à Yori de devenir « son fils ». En d’autres termes, il lui offrirait les mêmes pouvoirs que lui, mais amplifiés. Yori accepta sans hésitation. Dès ce jour, il développa une nouvelle identité : False Yori.

Sous cette forme, il héritait des pouvoirs de son « père », mais possédait en plus une capacité terrifiante : il lui suffisait de chuchoter « Amen » à l’oreille de quelqu’un pour plonger cette personne dans le coma. False Gabriel et lui formèrent alors une véritable alliance, presque une complicité familiale.

Un jour, cependant, Yori, pris d’ennui, retourna sur Terre sous son apparence d’ange. Dans une forêt, il fit la rencontre de Satori. Les deux s’entendirent rapidement et Satori décida de le présenter à Kara et aux autres. Yori s’intégra sans peine dans le groupe, mais il garda pour lui le secret de son lien avec False Gabriel…"

1 month ago (edited) | [YT] | 3

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‪@Nahxa02‬ ‪@Gorgona3006‬

J'ai essayer de faire ce porte clé mais dans Gacha Club (C'est bien ou pas?)

Son nom est Coco! Elle peut faire des grand nuages (où tu peux t'assoir ou t'allonger dessus) ou des petits nuages (ses nuages ont le goût des dragibus sauf que c'est en forme de nuages) et elle claque des doigts pour faire les faire disparaître

2 months ago | [YT] | 4

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‪@Nahxa02‬ ‪@Gorgona3006‬
Imaginons:

"Vos OC rencontre Akuma, mais ils le connaissent pas. Comment ils peuvent réagir?"

3 months ago | [YT] | 3